Ce que l’on peut en retenir (si l’on n’est pas irlandais…) :
« Nous n’avons pas réussi à repousser les frontières de l’Etat en Grande-Bretagne seulement pour les voir réimposer au niveau européen par un super Etat exerçant une nouvelle domination à partir de Bruxelles » (discours de Bruges, septembre 1988).
« Nos tympans ont été parasités par les tambours français du Bicentenaire » (1989).
« Bien qu’il eût des manières d’un aristocrate, [Valéry Giscard d’Estaing] avait l’esprit d’un technocrate. »
« L’Europe est un pays brumeux de cinglés où habitent Jacques Delors et ces partisans de l’Europe fédérale » (Rome, octobre 1990)
Commentaires
Oui,mais MT a libéralisé l'avortement et autorisé toutes les dérives libérales.
A boire et à manger.
Evidemment,si on est Irlandais,c'est la haine.
Une Anglaise somme toute,patriote et possédant les qualités et les défauts de sa race.
Opposée sur le fond au NOM,c'est la raison principale du refus des obsèques nationales.
"L'Europe est un pays brumeux de cinglés...." C'est dire si Mme Thatcher jouait en solo, ne considérant même pas faire parti de cet ensemble. Est-ce vraiment honnête ?
On aurait bien besoin d'hommes politiques de cette trempe en France. Voici quelques propos de cette grande dame :
"Nous n'avons pas, avec succès, repoussé les frontières de l'Etat en Grande-Bretagne pour les voir réimposées au niveau européen avec un super-Etat européen exerçant une nouvelle domination depuis Bruxelles." Discours de Margaret Thatcher sur l'Europe, à Bruges, en septembre 1988."
"Si quelqu'un suggère que j'aille devant le Parlement demander l'abolition de la livre sterling, c'est non !" Au 10 Downing street, elle a fortement mis en avant son euroscepticisme.
Ferme sur l'immigration :
Face à l'exode des boat people fuyant le Vietnam, Margaret Thatcher ne cache plus ses réflexes. Pratique, elle appelle son homologue australien pour le convaincre, en vain, de parquer ces malheureux sur une île du Pacifique. «Ne peut-on pas les transférer d'un entrepôt de Hongkong à un autre en Grande-Bretagne?» interroge-t-elle, toujours à la recherche d'une formule pour ne pas les accueillir sur le sol britannique. Elle finit par fixer une ligne départageant les «réfugiés», des «immigrants». Seuls les premiers, en petit nombre, pourraient se voir accorder l'asile, à condition que le nombre global n'augmente pas. Et la Dame de fer insiste, avouant avoir «beaucoup moins de réticences vis-à-vis des Rhodésiens, Polonais ou Hongrois, qui peuvent bien mieux s'intégrer à la société britannique», que vis-à-vis des Vietnamiens. Ses concitoyens, eux, ont de plus en plus de compassion pour ces réfugiés auxquels nombre de sujets britanniques veulent tendre la main. Réaction vipérine de Margaret Thatcher: «Je les invite tous à en accueillir un chez eux!» Puis à ses collaborateurs, elle assène son analyse: «On ne peut accorder des HLM à des immigrants, alors qu'on les refuse à des citoyens blancs. Il y aurait des révoltes si le gouvernement le faisait.»
On aurait bien besoin d'hommes politiques de cette trempe en France.
d'accord : ça urge !
Il y en a un,il est catholique et plein de charisme.
Autre citation:"le féminisme est un poison"!
Amédée : which one ?
de toute façon, une personne ne changerait probablement rien, le système est verrouillé.
une Jeanne d'Arc, peut-être ... ?
Suivez les prières catholiques devant le sénat,nous avons besoin d'un chef de prière et d'un chef de guerre.
Pour l'affaire des boat people elle aurait mieux fait de se taire. Ces malheureux ne naissaient spontanément de l'écume de mer, comme on pourrait le croire en lisant la presse de l'époque,ils fuyaient le Nord-Vietnam, circonstance à laquelle nous autres Français ne sommes pas totalement étrangers .
Du moins avons-nous recueilli quelques centaines de Hmongs, très peu en fait, envoyés en Guyane où ils furent accueillis comme des chiens par les compatriotes de Taubira.Aujourd'hui ils sont parfaitement intégrés et ne posent aucun problème, bien au contraire ils paricipent à la prospérité de l'agriculture guyanaise.