Les citoyens népalais peuvent désormais se faire enregistrer dans les bureaux du ministère de l’Intérieur comme « troisième genre », ce qui figurera sur leur carte d’identité. C’est la conséquence d’une décision de la Cour suprême qui avait ordonné, en 2007, la promulgation de lois garantissant les droits des citoyens transsexuels, homosexuels et bisexuels.
Le Père Pius Perumana, Pro-Vicaire apostolique du Népal, ne voit rien à redire. L’Eglise, comme les autres communautés religieuses, n’ont pas pesé sur cette décision parce qu’elles se préoccupent de ce qui est important : la pauvreté, la corruption, etc. On croirait entendre Mgr Paglia, Marine Le Pen et Jean-François Copé réunis.
Commentaires
Mais où faudra-t-il aller ? même en haut de l'Everest on est coincé entre la pourriture communiste et la pourriture nihiliste.
Au fond des océans avec le capitaine Nemo ? mais pour combien de temps ?