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Scintigraphie, c’est un joli mot

Mais quand ça vous apprend que vous n’êtes pas près d’arrêter d'avoir mal et de recommencer à marcher, c’est tout de suite moins joli…

Donc ça va permettre de continuer de déblayer un peu de purgatoire…

Commentaires

  • Bon courage.
    En union de prière.

  • Hé bien bon courage , on remarche toujours !
    Après beaucoup de travail - je sais, d ' expérience ...

  • Est-ce un accident ou une maladie ?

    En tous cas, voilà une fort désagréable nouvelle !

    Soyez assuré de mes prières pour votre prompt rétablissement ainsi que pour vous et les vôtres en général.

  • Moi itou je ne suis pas pres de remarcher,ni surtout de
    ne plus trop souffrir....pas toujours facile de supporter
    Ma grand-mere qui m'a élevé disait:il faut accepter ce que l'on ne peut pas refuser.....pas facile tout de mème

  • Je suis désolée d'apprendre vos problèmes de santé. J'espère que vous vous rétablirez vite. Avez vous de bons médecins qui s'occupent de vous?

  • Ça s'appelle une algodystrophie et c'est suite à mon accident en Irlande http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2012/08/31/interruption-des-programmes.html
    Ça peut durer six mois, un an, un an et demi... ou toujours. Et oui j'ai de très bons médecins.

    Je voudrais m'adresser à Saurat. Il ne faut pas en rester à ce niveau-là. Il faut offrir sa souffrance à Dieu, en union avec le Christ souffrant. J'expérimente ce que je ne savais que de façon théorique. Offrir sa douleur, c'est faire de sa douleur une prière. Elle devient prière. Et comme il n'y a rien à "faire", c'est une prière contemplative. La plus haute forme de prière. C'est en quoi celui qui souffre est, de ce point de vue, privilégié. Ce qui conduit à l'action de grâce. Soyez toujours dans l'action de grâce, dit saint Paul. Paradoxalement, c'est beaucoup plus facile quand on souffre, car quand tout va bien on oublie que ce n'est pas par hasard ni par nos mérites que tout va bien.
    En outre, c'est une leçon d'humilité, car on est dépendant des autres: rappel qu'on est dépendant de Dieu.
    Et c'est évidemment une leçon permanente de patience. Or, dit le Christ (et la liturgie), "in patientia vestra possidebitis animas vestras": dans votre patience vous posséderez vos âmes.
    Courage. Et priez. Je suis de tout coeur avec vous.

  • Il me semble qu'hier au soir, sensible au sujet que vous traitiez, le vôtre, j'avais rédigé un petit texte de sympathie. Il me semble aussi que, l'ayant écrit au comble d'une rage de dents qui m'ôtait tout discernement littéraire ou autre, je vous avais étrenné d'un délire dont, toute la journée, j'ai battu intérieurement ma coulpe. Enfin de retour à la maison, et quoique ne retrouvant pas ici la moindre trace de ma sottise - merci Anasthasie, en cas que ce soit un coup (de ciseaux) d'Anasthasie Palliatrice ! -, je veux la regretter et prier qu'on veuille bien l'oublier. Vous m'apprenez le vocable d'algodystrophie, terme barbare, et, à ce propos, votre accident en Irlande. Je forme des voeux pour une prompte guérison, dût-elle vous priver des Grâces que vous espérez en ce rencontre. Je reste persuadé que la santé, physique et morale, fait plus éclater la gloire de Dieu que son éclipse, totale ou partielle. Mais comme il faut tout accepter de la vie, acceptons d'un coeur léger la douleur, comme nous acceptons la jouissance.
    Voilà ! J'ai beau avoir encore bien mal à cette méchante dent, j'ai, me semble-t-il, un peu moins déliré cette vesprée ! Anasthasie nous le dira ! Bien fidèlement.

  • Je ne parlais pas de douleurs aiguës, qui posent un autre problème. Je parle seulement de douleurs chroniques émoussées par des analgésiques : je ne suis ni un saint ni un héros...

  • Pour Yves Daoudal
    Je ne sais pas faire ce que vous préconisez ;je ne sais pas prier (je ne sais que réciter le notre pere et l'ave)
    Je ne comprends pas l'amour de Dieu dans lequel je crois vraiment (en Dieu ,pas dans l'amour)
    Je suis un vieux soldat plusieur fois bléssé ,je sais supporter la douleur sans l'accepter

  • "Credidimus caritate", nous devons croire en l'amour de Dieu si nous croyons en Dieu.

    Et puis comme disait l'autre : "D'abord, il n'y a pas que du mal."

    Je pense que les Exercices de saint Ignace en cinq jours éteignent l'espérance et la charité. Moi du moins, c'est comme cela que je les ai vécus. Les avez-vous pratiqués ?

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