Le Financial Times croit savoir que le projet de directive imposant un quota minimum de 40% de femmes dans les conseils d’administration des grandes sociétés sera rejeté demain par une majorité de commissaires, et que ce sera une première sous l’ère Barroso, et un gros échec pour la pétroleuse Viviane Reding.
Au fil du temps de plus en plus de commissaires sont devenus hostiles au projet, malgré l’amendement qui lui a été apporté : l’éventail des sanctions a été supprimé et laissé à l’appréciation des Etats membres. Au moins 11 des 27 commissaires sont opposés à la directive, et seulement 8 d’entre eux y seraient favorables. On ne connaît pas la position des autres mais il n’y a guère de chances qu’ils permettent la constitution d’une majorité.
Il est amusant de constater que parmi les contestataires figurent plusieurs des femmes commissaires de premier plan, dont la première vice-présidente de la Commission Catherine Ashton, ainsi que Cecilia Malström, Neelie Kroes, Connie Hedegaard, Máire Geoghegan-Quinn. Et qu’en dehors de Viviane Reding ce sont des hommes qui sont les plus favorables, à commencer naturellement par l’inénarrable commissaire français Michel Barnier, en compagnie d’Olli Rehn, Antonio Tajani and László Andor.
Dès septembre, 9 pays, menés semble-t-il par le Royaume Uni, avaient officiellement manifesté leur opposition au projet.
Commentaires
Ces quotas de femmes relèvent de la volonté de violer la Loi Naturelle.
De toutes façons, plus il y a de femmes partout plus elles se révèlent pour ce qu'elles sont : nulles et par nature portées à rester des "Filles" et à ne pas devenir ni Femmes, ni encore moins Dames ! Victor Hugo avait donc raison dans sa remarque au passage de ses réflexions politiques dans « Napoléon Le Petit »... Toujours la participation des filles, avant tout, a détruit les meilleures civilisations.
Pour ma part, élevé chrétiennement dans la France des années 40 et 50, pour moi la Femme était en fait une DAME et ma mère en était une. Elle était davantage tenue droite et haute par la civilisation chrétienne que par sa nature commune à toutes. L'abandon du maintien dans leurs rôles aussi bien des Hommes que des Femmes et le laxisme des moeurs depuis 1968 a conduit à féminiser les mâles et à vulgariser le comportement désastreux de "Filles" au détriment de la Femme et de l'Homme. La pornographie et la fornication généralisées font des ravages et dressent la jeunesse à la sauvagerie.
A force d'écouter les filles, la civilisation disparaît, le chaos s'installe ! Il est plus que temps de remettre tout dans l'ORDRE, car les mouvements forts nous méprisent désormais qui, encore dans les années soixante nous respectaient et nous craignaient comme les islamisants.