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Le droit de vote des étrangers: plus tard…

Dans L'Express, le président de l'Assemblée nationale, Claude Bartolone, constate que le gouvernement ne dispose pas d’une majorité des trois cinquièmes au Parlement pour inscrire dans la Constitution le droit de vote des étrangers. Il faudra donc un référendum. Mais… « le référendum doit arriver à un moment de maturité, pour que le oui ait une chance sérieuse de l'emporter »…

Commentaires

  • Les utopistes, qu'ils soient révolutionnaires ou socialistes conservateurs, ont toujours rêvé, depuis Erasme, de refaçonner le peuple selon leurs lubies du moment, au besoin par un lavage de cerveau et des mesures terroristes. Dans le cas présent, les mesures terroristes semblent peu probables, nos socialistes s'étant fort embourgeoisés et étant devenus très bedonnants. Reste le lavage de cerveau, timidement et maladroitement commencé par quelques médias, mais qui semble régulièrement mis à mal par de nombreux faits-divers impliquant des étrangers. Le peuple n'est pas mûr, tant s'en faut. Voici une promesse qui pourra reservir pour les campagnes électorales ultérieures ; cela rendra plus rapide l'élaboration du programme socialiste des années vingt.

  • Donc on demande au peuple de donner son avis quand il pense comme le gouvernement!
    Quoique dans son département d'origine il pourrait lancer un référendum local sans soucis, les électeurs sont mûrs pour des élections aux résultats soviétoïdes (là c'est du passé) ou des républiques bananières (ah non c'est pas politiquement correct). Bref elle est belle leur démocratie.
    Si le peuple vote mal c'est qu'il n'est pas encore éduqué comme il faut. Et personne ne s'étonne de telles paroles!

  • Plus tard, c'est-à-dire lorsque l'on aura distribué suffisamment de carte d'électeurs aux bi-nationaux.

  • C'est plutôt une bonne nouvelle, première promesse démago potentiellement non-tenue...

  • Mon ancêtre, Charles de son prénom, doit se retourner dans sa tombe. le DROIT DU SANG devrait être la règle absolue pour être de nationalité française, pas de double nationalité. Ou on est français ou on ne l'est pas.

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