« Toute condamnation qui disqualifierait un responsable politique pour des actes contraires aux valeurs de la République conduirait à l'exclure du gouvernement. Aucun membre du gouvernement n'est aujourd'hui dans ce cas de figure. »
Ça, c’est signé Jean-Marc Ayrault, Premier ministre de la République française.
On ne sait si l’on doit en rire, ou s’en inquiéter.
Mais on en tirera les premières conséquences : le favoritisme (Ayrault), le non-respect du droit du travail (Taubira), et l’injure (Montebourg), sont parfaitement conformes aux valeurs de la République.
En attendant la suite.
Commentaires
Rien de nouveau sous le soleil! Le socialisme dans toute sa splendeur!!! A suivre!
Effectivement c'est typiquement socialo mais c'est surtout un façon (inconsciente?) de recréer le délit politique. Car en somme il y aurait si je comprends bien, deux catégories de délit ou de crime : ceux qui sont de droit commun et ceux qui sont contraires "aux valeurs de la République", valeurs qui sont exclusivement de gauche cela va sans dire...
Les délits de droit commun ne sont donc pas contraires aux valeurs de la République. Fameux.