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Mardi de la quatrième semaine de carême

« Quelques-uns, qui étaient de Jérusalem, disaient : N’est-ce pas là celui qu’ils cherchent à faire mourir ? Et voilà qu’il parle publiquement, et ils ne lui disent rien. »

Aux Juifs qui voulaient toujours voir des miracles, Il donnait l’une des plus fortes preuves de sa divinité, en ce que, malgré toute la haine que Lui portait le Sanhédrin, Il le défiait en se montrant en public, prêchant, guérissant les malades ; et, jusqu’à ce qu’arrivât l’heure établie par Lui-même, personne ne put Lui toucher un cheveu. Quand, par la suite, cette heure bénie arriva, les Juifs, dans la passion même du Christ, ne purent Lui faire rien de plus que ce qui avait été prédit par l’Esprit Saint parlant par les Prophètes, de nombreux siècles auparavant. Les moindres circonstances de temps, de lieu et de personne avaient été prévues, si bien que saint Pierre priant put dire que le Sanhédrin avait conspiré contre le Christ : Facere quæ manus tua et consilium tuum decreverunt fieri (pour faire ce que Ta main et Ton conseil avaient décrété qu’il arrivât).

Bienheureux cardinal Schuster

 

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