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Trois évêques s’en prennent à "L’homme nouveau"

On voit en permanence des prêtres nier implicitement ou explicitement des points fondamentaux de la foi catholique, et inventer des « liturgies » qui n’ont plus rien de catholique. Et quand ils s’en vantent dans la presse, on ne voit pas le moindre évêque venir rétablir la vérité, manier la houlette du pasteur pour frapper le loup et montre aux brebis la bonne direction.

En revanche, quand L’homme nouveau publie, comme une tribune libre, un article d’un prêtre qui ose revenir sur les falsifications de la traduction des textes liturgiques, alors là ce sont trois évêques qui montent au créneau pour défendre leur petite soupe nauséabonde, trois évêques-présidents : Mgr Robert Le Gall, président de la Commission épiscopale francophone pour les traductions liturgiques, Mgr Bernard-Nicolas Aubertin, président de la Commission épiscopale pour la liturgie et la pastorale sacramentelle, et Mgr Philippe Gueneley, président de l’Association épiscopale liturgique pour les pays francophones (celle qui demande des droits d'auteurs pour la Sainte Ecriture mise sous copyright...).

Et ils s’en prennent à L’homme nouveau de façon grossière et au mépris de la loi.

De façon grossière, car ils exigent un droit de réponse, ils usent d’un procédé comminatoire qui n’est pas de ceux que l’on utilise entre frères, et qui vise à faire croire qu’ils ont dû en arriver cette extrémité devant la mauvaise volonté du journal, alors que celui-ci leur est ouvert quand et comme ils le veulent.

Et au mépris de la loi, car ils exigent la publication d’un texte plus de deux fois plus long que celui qu’ils contestent : L’homme nouveau était fondé à le leur refuser.

Cela dit L’homme nouveau fait bien de le publier, et fait bien aussi d’y ajouter la réponse du « coupable », l’abbé Pellaboeuf. Le très long texte épiscopal mériterait une réponse plus longue, mais quiconque est un peu au courant de l’histoire du naufrage de la liturgie peut la faire lui-même.

L’homme nouveau, c’est ici.

 

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