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Deuxième dimanche après Pâques

La liturgie de ce dimanche insiste sur un aspect particulier et très important, sur le plan ecclésial, du mystère pascal : le Christ est le bon pasteur qui donne sa vie pour ses brebis, et qui, après avoir repris sa vie, institue le pasteur qui, en son nom, rassemblera le troupeau.

L’antienne du Benedictus reprend ce que dit Jésus du bon pasteur qui connaît ses brebis et qui est connu de ses brebis, et y insère la fameuse expression « Ego sum via, veritas et vita », qui vient d’un tout autre passage de l’évangile de saint Jean.

Nous ne savons pas où tu vas, comment pourrions-nous savoir le chemin ? demandait Thomas à Jésus. C’est moi le chemin, et la vérité, et la vie, répond le Pasteur. Moi, donc l’Eglise que j’institue. Car « c’est tout un de Notre Seigneur et de l’Eglise », comme disait sainte Jeanne d’Arc dont on célèbre aujourd’hui la solennité dans les paroisses.

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