Alors que l’Estonie est entrée dans la zone euro, Reuters constate que d’autres pays restent réticents. Le président de la Banque centrale polonaise déclare: « Il se passe des choses dramatiques dans la zone euro, pourquoi se presser ? ». Et le Premier ministre tchèque dit que l’euro ne sera pas avantageux pour son pays avant longtemps…
D’autre part, le célèbre rédacteur en chef économique du Telegraph, Ambrose Evans-Pritchard, écrit que s’il est clair que l’union monétaire « se rapproche d’une union de la dette », il est « moins clair » de comprendre pourquoi certains pays veulent se charger « du fardeau partagé de la dette grecque, irlandaise, portugaise, espagnole, italienne, belge et française ».