Le Financial Times Deutschland a remarqué que 17 anciens commissaires européens continuent de toucher des indemnités de la Commission alors qu’ils ont retrouvé un emploi.
Ces « indemnités transitoires » sont versées pendant trois ans pour leur « faciliter le retour sur le marché du travail ». Lorsque l’ancien commissaire a un nouvel emploi, il continue de toucher une indemnité qui met son nouveau salaire à égalité avec ce qu’il touchait comme commissaire.
C’est donc parfaitement légal, même si c’est choquant, mais pas plus choquant que les autres ahurissantes indemnités en tout genre que s’octroient les princes de l’Europe.
Là où ça devient tout de même curieux, c’est lorsque la présidente lituanienne (Dalia Grybauskaitė), le ministre italien des Affaires étrangères (Franco Frattini), ou deux députés européens (Louis Michel et Danuta Hübner) continuent d’être payés par la Commission européenne. Mais personne ne peut imaginer que ces gens-là auraient de toute façon une vision objective de la politique de la Commission...
Commentaires
Je pense que cet estimé "blog" permet les caractères bizarroïdes (déjà essayés avec Klaus ; là ou je mange : La Bonne Cuisine, 天厨, Tiān Chú ; etc.) : Dalia Grybauskaitė...
Bon, le lithuanien, le chinois, ça va... Mais le français, avec le u grave accent...
Bon, d'accord, il y a un accent à Grybauskaité. Voilà, je corrige. Il n'y a pas de quoi en faire un fromage chinois...
Ça pas être accent comme dans fronçéze langue, mais point : e pointé suscrit, ė (il faut faire copié-collé -- copiė-collė en lithuanien... -- de mon grand-oeuvre...) ; -tė, c'est le suffixe féminin d'un nom propre en lithuanien, comme le -ska en polonais ; le pendant masculin, c'est Grybauskais ; Grybauskais/Grybauskaitė, comme Runowski/Runowska... Me dites pôs que vous avez oublié tout votre lithuanien ?...
Exemple (polonais) : Mr Rogala et sa femme Mme Rogalina ont pour fille Mlle Rogalianka... Trop simple ? Mr Zawierucha et Mme Zawieruszyna ont pour fille Mlle Zawieruszanka...
J'ai connu une demoiselle Wadówka (nom de son père ; curieux nom pour un homme, puisqu'il signifie presque (Wdówka en polonais) "petite veuve", "veuvette"...) que je souhaitais (je suis plus Palestinien qu'un Palestinien -- la Charte de l'OLP n'est pas pour moi "caduque", en particulier son article 2 -- et Polonais qu'une Polonaise) appeler réglementairement "Wadówczanka" ; elle ne s'en est pas encore remise...
Dois-je ajouter que toutes ces traditions sont perdues en Pologne (excepté le -ska du -ski ; mais là, c'est parce que c'est une forme adjectivale, comme chacun aurait pu me le rétorquer), et qu'il faut aller "abroad", en Polonia, pour perdurer ?...
Mais c'est de l'hébreux ce que vous racontez là, j'y comprend rien! Ou bien vous avez un QI de 160, ou bien je suis encore soûl comme un polonais....
Je connais un peu le polonais, pas du tout le lituanien. Désolé. Merci pour l'explication. Je remplace l'accent par un point.
A mes deux honorables contradicteurs que je sens que je gonfle avec ces messages (en apparence) anodins.
Tout d'abord, la version que je connais de « soûl comme un Polonais » : ça date de l'époque napoléonienne ; les repas entre officiers français et polonais, là-bas, dégénéraient souvent, toujours, en beuveries ; au bout de quelques godets, les officiers français roulaient sous la table ; les polonais restaient dignes ; « soûl comme un Polonais » qualifie une personne ivre-morte d'apparence saine…
Toutes ces choses sur la graphie des noms peuvent paraître futiles, mais c'est comme l'orthographe, ça peut être fondamental.
Déjà, une anecdote rapportée il y a longtemps par un journal, concernant un Français prénommé « Jean » qui vivait en Angleterre, et qui ne parvenait pas à obtenir de la justice française un changement de prénom, « Charles », comme ses anglais amis l'appelaient, « Jean » étant chez les perfides Godons un nom de fille, « Norma Jean Baker »… M'occupant de généalogie, j'écrivais des lettres en anglaise langue pour un mien cousin à l'intention des stupides Riquains ; mortifié d'avoir quelque chose à me devoir, ce dernier s'empresse de les envoyer aux Ztats-zUnis sans m'en causer ; ça n'a pas raté : comme il le dit lui-même – la réponse du Polonais d'Amérique s'étant faite en polonaise langue qu'il connaît –, « Je peux mettre un tutu, et il m'épouse ! » ; « B'en oui, tu m'aurais demandé, je t'aurais dit de mettre « Jan » et non « Jean » comme prénom. », d'autant que son patronyme ne permet pas (cf. ci-dessus) en polonais simplifié de savoir si l'on a affaire à fille ou garçon…
Je regrette de ne pas avoir profité du long séjour du trotskard – « Trotskiste un jour, trotskiste toujours… » – Jospin – le camarade « Michel » – à Matignon, pour obtenir de lui – en tant qu'époux Agaciński, c'est à priori une oreille attentive – des changements dans les règles d'état civil français. Un mien ami – Anglais comme ses nom et prénom l'indiquent ; je vous dis pôs le jour où les fliques français l'ont alpagué sur mon Solex, qu'il conduisait de traviole… à articuler pour un gosier accoutumé au pastis… –, Zygmunt Bielawski, a épousé une Godonne, qui prit, avec inattention, le nom marital de Bielawski ; mais, à la naissance des filles, Zygmunt (Sigismond ; appelé ainsi parce que son père pensait que ce serait le dernier de la dynastie, d'où le « Z » de « Zygmunt ») prit la décision de les déclarer sous le nom accordé, en -ska : Mme Bielawki a pour filles des demoiselles Bielawska… A mon grand étonnement, il m'affirmait que l'état civil british acceptait ça sans discuter ! Porter un nom masculin en -ski pour des filles, comme les demoiselles Rzeski ou Agacinski, ça n'est pas trop grave ; le masculin, ça est noble ; et on peut considérer que la langue source, le polonais, avec ses subtilités, se fond dans la langue cible, le français, avec uniformisation : le masculin y est le « neutre ». Etudiant la généalogie, rien qu'au nom d'un garçon français, je reconstitue son histoire : sa mère est fille-mère. Pourquoi ? Parce que le malheureux s'appelait Trucmuche Machin-ska… C'est à dire que l'officier d'état civil, recevant la naissance d'un garçon d'une dame Machin-ska ne pouvant produire de mari, déclare le bambin sous le nom de Maman. Pas trop grave en France, mais le jour où le malheureux voyage dans les Pays slaves ?… La risée de tous. (Partout, en tout pays, l'injure suprême pour un homme est d'être pris pour une femme ; ça est comme ça.) Je ne sais pas si le camarade Michel, en admettant avoir emporté sa conviction, aurait eu assez de cinq ans pour faire fléchir des fonctionnaires, bornés par essence. Lui-même n'étant pas très intelligent, voire franchement bête – pendant des années (du temps de Mitran la Francisque), chaque fois que je le voyais apparaître à la télévision, j'éclatais : « Tiens ! l'idiot du village… » –, on comprend pourquoi je me suis abstenu d'un courrier…
La minorité de langue lithuanienne de Pologne a obtenu des Zautorités qu'elles se dotent des claviers nécessaires pour consigner les noms lithuaniens – et je suppose : lettons, russes blancs – « blanc », c'est comme « franc », « mazigh (berbère) », ça signifie « libre » –, ucrainiens, ruthènes, cachoubes, slovinces s'il en reste… et autres – correctement.
Les jeunes Polonais ouvrent de grands yeux quand je leur explique ces subtilités de noms masculin, féminin, demoisellesque ; il paraît qu'en Chine, une spécifité du chinois, les spécificatifs ou classificateurs – voir par exemple chez mon « ami » Jean-Victor Gruat – « Tout est (était) bon dans l'Gruat ! » –, http://www.jvgruat.com/Chine/specificatifs.htm – est en perdition… Le français, tous icitte constatent sa délikè100ce…
N'oub'iez pôs qu'en causant bien la Fronçe, la Pologne, la Chine, le yoruba, l'aztèque…, vous faites chier les mondialistes !
"gonfle", Pô du tout! J'aimerai bien avoir vôtre culture (et récupérer la mienne, j'ai du la mettre dans une bouteille de Vodska, euh vodka, et la balancer dans la mer(Baltique)),
Les mondialistes parlent l'anglais, ils doivent le parler mal à tout les coups...
Repas mondialiste ?
-hamburger
-sushis
-pizza
-glâce aux noix de pécan
« Les mondialistes parlent l'anglais, ils doivent le parler mal à tout les coups… » : Les mondialistes s'attachent à bien parler l'anglaise langue – prenez Mr Sinclair, par exemple –, et même les autres langues ; il en va de leur honneur, orgueil, fatuité. (Prenez par exemple mon « ami » Pierre « ben » (¹) Hallet (²), Belge et complexé par ça, qui postillonne couramment le hollandais, parle et écrit parfaitement l'anglais et le français, mais n'a de cesse que les autres, eux, parlent et écrivent un français de merde, sans accords ni rien : c'est un agent de la City.) Mais ce qu'ils veulent, c'est que les autres – nous, les hilotes – causent globish, pour l'anglais, et caillera, pour le français.
J'ai un Mac tout pourri en remplacement d'un ordinateur souffrant, un PC tout pourri de même ; mais sur ce dernier, j'avais accès au clavier bien tempéré de Denis Liégeois, et à tous les logiciels Unicode ; je pouvais donc écrire sans problème et rapidement tous les caractères spéciaux, les guillemets français «», les tirets –, —, les chiffres suscrits et souscrits, etc. tous les caractères bizarroïdes ; sur le Mac, point : d'où les "", les --, par facilité, paresse. Alors, un truc qui peut servir à tout le monde, même à Monsieur le Taulier ; faites semblant d'écrire un message sur la Wikipédia mongole, par exemple : http://mn.wikipedia.org/w/index.php?title=Test&action=edit&redlink=1 – mais gardez-vous bien de le publier ! –, et vous verrez en bas de la zone de texte tout un tas de caractères sur lesquels il suffit de cliquer pour les y insérer ; bien sûr, ça n'est pas aussi pratique qu'un bon PC Unicode, mais c'est mieux que rien ; c'est là où que j' suis, présentement, là dis donc… Vérifiez, mes « … » sont bien un caractère, et pas « ... » !
Plus d'excuses, donc, pour des messages tout pourris sur ce blog bien tenu.
Manquent plus que les mises en forme – italique, gras… –, mais là, j'ai pôs réussi à faire passer des instructions html (sur « Rue89 » on peut, icitte, je trouve pôs).
1. En raison de sa maçonnaïcosémitolâtrie hystérique.
2. De toute façon, « Pierre Hallet » est le pseudonyme francoïde d'un type qui a honte de son patronyme flamingant.
Tout à fait, sauf que le gugus qui a fait des études, qui est cultivé et qui n'a de cesse de vouloir crétiniser le bon peuple fini par récolter ce qu'il a semé, et pas seulement dans la vie future, vous pouvez comprendre qu'un gars qui aime les belles lettres, qui est un amateur d'art raffiné, mais qui veille sournoisement à tuer la culture chez les autres devient fatalement idiot, a mon avis il ne peut plus rien produire de beau, il devient un animal rusé, mais pas créatif pour deux sous. on n'est plus dans la philosophie (à deux sous) que dans la spiritualité? Allez savoir...
Décidément, on ne s'entendra pas. Mais bien sûr que les mondialistes veulent finir par récolter ce qu'ils ont semé ! B'en tiens. Ils veulent un monde – au moins dans un premier temps – divisé en trois classes (quatre) : la caste des Seigneurs, de race – savez-vous que dès que je ponds un message par icitte, le moindre, je me demande si le Taulier l'y laissera ? – judaïcomaçonnaïque – ixez le terme plutôt que de supprimer le message, doux Seigneur Taulier – et leurs nervis, esclaves de l'Halwf, une première classe d'esclaves volontaires, décérébrés à coup de « Secret Story », nous, les Occidentaux, bons producteurs et consommateurs relativement fortunés, et la dernière, les parias, les esclaves asservis à Kouchner, de Birmanie, du Gabon et d'ailleurs.
Dans ma jeunesse, je gueulais contre la fascisation de l'Etat ; vaste rigolade, face à l'horreur sécuritaire concoctée par Mitran la Francisque et ses épigones et leurs lois liberticides. Quelqu'un ici (Ysengrin) a rappelé la vision de Bernanos : http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2010/05/28/les-billets-de-500-e.html (¹) ; s'il était vivant, de nos jours, il se retournerait dans sa tombe. (Combien de fois ai-je été embarqué par la fliquaille, parce que je refusais de produire des papiers ?)
Et c'est volontairement que nous nous sommes précipités dans l'esclavage : Irruunt in servitudinem.
1. Comment récupérer à posteriori l'adresse exacte d'un commentaire, afin de pointer directement dessus ? Je crains que seul le Taulier en soille capab'. Nous, on a la petite liste à droite, qui décroît à mesure que l'effet se recule.
Bon tout doux, là... d'accord pour les castes,
" s'il était vivant, de nos jours, il se retournerait dans sa tombe. "
No comment... (Ah the famous french humour)...