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Les islamistes du Kerala appliquent la charia

Alors qu’il revenait de l’église, dimanche, un professeur du collège Newman de Thodupuzha (Kerala, sud de l’Inde) a été assailli par un groupe de musulmans fanatiques qui lui ont sectionné la main droite.

Ce professeur, TJ Joseph, avait rédigé pour ses étudiants une question jugée blasphématoire par les musulmans. En avril, des manifestations avaient été organisées. Le professeur avait été arrêté, puis suspendu.

La question faisait partie d’un examen de malayalam (la langue officielle du Kerala). Il fallait rétablir la ponctuation dans un texte (d’un auteur du Kerala) où un fou dialogue avec Allah. Le crime de TJ Joseph était d’avoir appelé le fou « Mohammad ».

Le Kerala est cet Etat de l’Inde où vit une importante communauté catholique de rite syriaque (malabar) remontant au tout début du christianisme : les « chrétiens de saint Thomas ». Le collège (cardinal) Newman de Thodupuzha dépend de l’évêché de Kothamangalam. Sur la page Thodupuzha de Wikipedia, on peut lire : « Les catholiques syriaque, les hindous et une minorité musulmane coexistent en harmonie, ajoutant à la diversité de foi et de religion. Les membres de la minorité musulmane sont pour la plupart des rawthers, qui sont des guerriers du raja de Madurai qui ont migré de Madurai et de Tanjore dans le Tamil Nadu. »

Jusqu’ici, les avertissements sur la recrudescence des attaques musulmanes étaient considérés par les autorités communistes comme de la propagande hindoue.

Commentaires

  • ils coexistent en harmonie donc la sanction reste "humaine", confirmant ainsi le caractère "tolérant" de l'islam.
    Le plus curieux c'est qu'ayant vécu plusieurs années dans un pays musulman dans ma jeunesse, je n'avais jamais trouvé que l'islam était "tolérant".
    C'est jeune et ça ne sait pas.
    RIRI

  • Vos bonnes résolutions du 15 septembre 2006 (http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2006/09/15/petite-note-de-terminologie.html) n'auront duré que quelques semaines ; depuis 2008, la "charia islamique" est redevenue simple et absolue "charia" ; peut-être un retour aux vrais noms, cette "charia" est "islamique" comme Yade est Ramatwlaye ?

  • D'une part, quand on dit charia, dans un texte français, cela fait a priori référence à la charia islamique. Donc a priori il n'y a pas besoin d'apporter une précision qui pourrait être nécessaire dans un texte en arabe.

    D'autre part, j'ai constaté que les chrétiens arabophones évitent d'employer le mot charia (sans le bannir absolument), préférant le mot namous (du grec nomos), ou thaoura (de l'hébreu thora) pour la loi de Moïse.

    C'est pourquoi cette note est en grande partie caduque.

  • D"accord, il faut donc écrire « Charia » quand on désigne le machin des mizilmans, comme on écrit « Torah » pour le ramassis d'imbécillités miroir ; de même « Jihad », quand ce n'est pas un simple « jihad », etc.

    Ici (http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2010/09/25/il-ne-faut-plus-dire-terrorisme-islamiste.html), « Donc, quand des attentats sont commis au nom de l’islam, éventuellement avec des citations du Coran et des rappels de la charia, il faudrait censurer ces références. », par exemple : « Charia ».

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