trouvé sur le Salon Beige :
« L'Islam ne connaît absolument pas la séparation des domaines politiques et religieux, inhérents au christianisme dès le début. Le Coran est une loi religieuse totalitaire, qui règle la totalité de la vie politique et sociale et exige que toute l'organisation de la vie soit dictée par l'Islam. La charia impose sa marque à la société du commencement à la fin. »
Cardinal Joseph Ratzinger, in « Le sel de la terre ».
Commentaires
Cher Yves, prenez le temps pour lire d'urgence le N° 106 de la " revue catholica " qui vient de paraître: j'ai reçu par courriel la table des matières avec à la suite le texte intégral de l'article de Madame le Professeur Marie-Thérèse URVOY, de la Catho de Toulouse, historienne, arabisante et islamologue, auteur notamment du l'excellent petit manuel "Les Mots de l'Islam". Cet article analyse la dérive islamophile qui a commencé avec le texte volontairement ambigu du chapitre 3 de "Nostra AEtate" ( qui heureusement n'est qu'un déclaration conciliaire de moindre autorité ). Ensuite, le parti islamophile a pu se bâtir deux forteresses: l'IDEO des dominicains du Caire, et surtout - au Vatican même le PISAI des Pères Blancs = Pontificio Istituto Studi Arabi e Islamici, qui a ensuite fait essaimer ses orientations dans les IESTR (Science et Théologie des Religions) des cathos.
Parmi les erreurs fondamentales enseignées: l'Ibrahim du Qur'an est identique au véritable Abraham biblique. Il faut respecter non seulement les sentiments pieux des musulmans, mais l'islam lui-me et donc Il ne faut jamais attaquer les faussetés de l'Islam et jamais exiger que les intellectuels musulmans réexaminent les accusations de Muhammad, selon lesquelles juifs et chrétiens ont falsifié (tafsir) leurs Écritures;
---> Il faut faire lire cette étude à toutes vos relations dans le clergé, et surtout à la SC Doctrinae Fidei. Une déclaration interprétative type "Dominus Jesus" s'impose pour mettre fin à cet abandon de toute conversion des musulmans et de toute apologétique contre cette doctrine totalitaire, fondée sur une synthèse rationaliste de l'orgueil arabe et d'une hérésie judéo-nazaréenne.