La France a accepté de fournir une caution (sic) pour la remise en liberté de Clotilde Reiss, rapporte l'agence iranienne Irna : "L'ambassade de France à Téhéran a transmis une lettre officielle au ministère des Affaires étrangères iranien acceptant de fournir une caution et des garanties écrites pour la libération de Clotilde Reiss."
A Paris, Romain Nadal, porte-parole du ministère des Affaires étrangères, a déclaré que la France faisait « le nécessaire » pour obtenir la libération de la jeune femme.
Commentaires
Ciel ! Rassurez-moi ! Est-ce que c'était dans les prévsions de déficit budgétaire de Woerth ?
http://groups.google.fr/group/louisxvii-info-2/web/le-fou-du-roi-louis-xvii
Il y a un peu plus d'un an, on fêtait bruyamment la libération d'Ingrid Bettancourt, icône de la gauche caviar, archétype de la gauchiste écervelée. (*)
Depuis, il n'y avait plus rien pour faire pleurer dans les chaumières. On s'est rabattu un temps sur Florence Cassez, mais le cas, très gros, n'a pas pris. Clotilde Reiss tombe à point nommé, encore quelques temps et l'on verra son portrait sur le fronton de toutes les mairies parisiennes.
On pourrait faire l'historique de tous ces fils et filles de la bonne bourgeoisie, qui sont aller faire leur révolution aux quatres coins de la planète, et que la république, aux frais des contribuables, est allée quérir dans leurs geôles : Régis Debray (Amérique du Sud), Albertini (Afrique du Sud), Bettancourt, Les journalistes du Figaro et de Libération en Irak, aujourd'hui Clotilde Reiss...
Un seul mot : ras-le-bol !
(*) : On retiendra tout-de-même le vilain tour, absolument non prévu, que joua la donzelle à notre intelligentsia française : celui, devant toutes les caméras braquées sur elle à sa sortie d'avion, de s'agenouiller et de réciter son chapelet. Alors là, bien des yeux se sont exorbités, bien des coeurs se sont serrés à la vue de cette scène abominable, toute la clique Saint-Germain-des-prés a frisé la crise cardiaque, mais, coincés par le tintamare médiatique qu'ils avaient orchestré, ils ne purent que boire le calice jusqu'à la lie, tableau que je ne me lasse pas de contempler...