Communiqué de Jean-Marie Le Pen
En pleine session extraordinaire, l'Assemblée nationale s'est offert une petite récréation estivale en organisant un prétendu débat de motion de censure.
C'était un joli cadeau de la gauche à M. Fillon, lui permettant de montrer qu'il existe encore.
Mais celui-ci n'en a guère profité, en réagissant aux propos creux mais brillants de Laurent Fabius par la scrupuleuse lecture d'un texte écrit avant le discours auquel il était censé répondre.
Une fois encore, la démocratie ne sort pas grandie d'une telle parodie de débat.