Dans un entretien au Nouvel Observateur, Martine Aubry affirme qu'elle n'est "pas pour l'entrée de la Turquie" dans l'Union européenne, mais pour une "poursuite des négociations" qui doivent amener ce pays "à avancer dans beaucoup de domaines".
Or il est évident que la poursuite des négociations implique (explicitement) d'arriver à leur terme : l'adhésion de la Turquie.
Commentaires
Si négociation il y a, il me semble que le moindre des PREALABLES, serait de demander à la Turquie de renoncer à son adhésion à l'Organisation de la conférence islamique (où elle tient compagnie à l'Algérie, au Pakistan et à l'Afghanistan) et de renoncer également à la "déclaration des droits de l'homme en islam" qui viole la déclaration UNIVERSELLE des droits de l'homme du 10 décembre 1948.
L'Organisation de la conférence islamique doit être dissoute comme contraire à l'égalité des êtres humains, quelle que soient leurs confessions et la "déclaration des droits de l'homme en islam" doit être condamnée.
Poursuivre les négociations sans que le préalable des droits de l'homme ait été satisfait est une faute contre la morale et le droit naturel.