Quelques-uns des hommes les plus riches des Etats-Unis se sont secrètement réunis, le 5 mai dernier, pour voir comment mettre leur fortune au service du règlement de la crise... notamment par le biais du ralentissement de la croissance de la population mondiale.
Commentaires
Etre pour la dépopulation, c'est être pour Rousseau (qui considérait que les guerres étaient dues à la surpopulation), Malthus, Darwin.
"ce rapport est donc que la terre suffise à l’entretien de ses habitants, et qu’il y ait autant d’habitants que la terre en peut nourrir. C’est dans cette proportion. que se trouve le maximum d’un nombre donné de peuple ; car s’il y a du terrain de trop, la garde en est onéreuse, la culture insuffisante, le produit superflu ; c’est la cause prochaine des guerres défensives : s’il n’y en a pas assez, l’État se trouve pour le supplément à la discrétion de ses voisins ; c’est la cause prochaine des guerres offensives." (Rousseau "Du contrat social" II, ch. 2) On remarquera ici le critère cartésien des "idées claires" qui sont la preuve, selon ce système, de la vérité, alors que la réalité est toute autre. Mais il est vrai que Rousseau raisonne en déclarant en préambule dans son "discours sur l'inégalité" : "commençons par écarter tous les faits"
Or l'intelligence est collective, les services sont collectifs et l'agriculture manque de débouchés etc. C'est donc l'inverse qui est vrai, c'est la population qui nous sauvera.
L'Inde avec 250 000 habitants était en proie à la famine, avec un milliard d'habitants, elle exporte. La Hollande un des pays les plus dense de population du monde est un pays d'immigration et d'exportation agricole et l'Afrique qui est vide, est un pays d'émigration et d'importation agricole. Mais ce sont des faits, et nos idéologues n'aiment pas les faits, il leurs faut des idées.
Faudra-t-il attendre qu'on soit 15 milliards et qu'il n'y ait plus de pétrole pour comprendre que les diverses idéologies religieuses et économiques de la croissance infinie ne sont que des outils de suppression de l'intelligence?
Le "progrès" des techniques en agriculture n'est qu'un leurre qui conduit à l'appauvrissement des sols et au déséquilibre des écosystèmes.
Lorsqu'on ne pourra plus exploiter ces progrès, guerres et famines corrigeront la surpopulation d'une manière qui ne sera pas plaisante. Il y a fort à parier que ces guerres laisseront la planête dans un tel état que seule une poignée de nos descendant auront la chance d'y survivre.
Alors qu'on assiste à l'épuisement des ressources, à la multiplication des flux migratoires, à l'augmentation de la pollution, certains continuent à voouloir nous aire croire que la surpopulation est une "chance" pour la planète.
Ce discour est l'expression d'un raisonnement "politiqement correct" qui refuse de mettre en cause les pays du tiers monde qui sont responsables de cette situation.
Comment la Terre va pouvoir acueillir 10 milliards d'habitants aux environs de 2050, en limitant l'emploi des persticides dont les effets nocifs sur la santé commencent à se faire sentir, sans augmenter les surfaces cultivables au préjudice des forêts et de la diversité des espèces ? Mais il ne s'agit pas seulement de nourrir les populations mais de leur assurer l'accès aux soins, à l'enseignement et à l'emploi, tout en respectant l'environnement. Seule la Chine a réussi à juguler la natalité et accéder à la socièté de consommation. Quant à l'Inde qui a échoué à maitriser sa surpopulation elle demeure un pays inégalitaire en ce qui concerne les régions.
Ces deux grands pays qui commencent à peine à peine à émerger vont vite devenir les premiers pollueurs mondiaux suivis par le continent africain retardé par les rivalités et la corruption.
Que va représenter la pollution causée par les états dits développés par rapport aux milliards de consommateurs à venir.
Encore une fois les écolos auto-proclamés veulent nous faire croire que nous sommes les seuls responsables de la pollution de la planète sans jamais aborder le seul problème de la pollution qui n'est dû qu'à l'augmentation de la population comme le démontre à une échelle locale l'exemple d'Haïti, la premiere colonnie française à avoir acquis son indépendance pour devenir le pays le plus pauvre du continent américain.
Si la Terre ne comptait que 3 milliards d'humains, elle pourrait assurer le bien être de tous ses habitants sans crainte de pollution.