Le conseil régional d'Ile-de-France s'apprête à voter une subvention au groupuscule d'homofolie blasphématoire intitulé « sœurs de la perpétuelle indulgence ».
Réaction de Bernard Antony, président de l'Agrif.
Le Conseil Régional d'Ile-de-France s'apprête à voter ce jeudi une subvention de 23 000 € à l'organisation dite « les sœurs de la perpétuelle indulgence » qui utilise par dérision anti-chrétienne l'image et l'habit des religieuses catholiques. La Mairie de Paris va financer pour sa part à hauteur de 19 927 €.
Ces « sœurs » prétendent sans vergogne militer contre l'homophobie et le SIDA.
Or pour lutter efficacement contre le SIDA il y a d'abord les moyens de la recherche médicale. Les « sœurs » en question qui se promènent dans les gay-pride, ou manifestations dites de « la sainte capote », généralement habillées par devant et dénudées par derrière, ne se préoccupent évidemment pas de recherche médicale ni de subventions sans discrimination aux malades.
Bien au contraire, elles agissent pour une banalisation des mœurs qui sont leur affaire mais qui ne vont pas à l'encontre du développement de cette maladie.
Subventionner leur association de pitoyable carnaval exhibitionniste, c'est d'abord une injure à toutes les religieuses qui, de par le monde, dans les dispensaires et les hôpitaux se dévouent aux malades dans la discrétion et l'humilité, souvent jusqu'au sacrifice de leur vie . Mais cela constitue évidemment un cynique et intolérable détournement de fonds publics.
Aussi l'AGRIF a d'ores et déjà chargé l'un de ses avocats de mettre en œuvre les plaintes qui s'imposent contre l'association, contre le Conseil Régional d'Ile-de-France et contre la ville de Paris.
Commentaires
Ajoutons que ces sacrilèges bafouent la liberté religieuse.
C'est donc contraire à la Convention européenne des droits de l'homme (art. 1 § 1, article 9)
D'autre part, cette liberté religieuse étant de droit naturel (Benoît XVI), l'Etat a le devoir de la protéger par des peines convenables infligées à ceux qui la bafouent (encycliques Libertas de Léon XIII, 1888).
Bravo à l'AGRIF pour son combat difficile devant des juges rarement impartiaux.
Jadis, ces tristes sires (les "soeurs" sont des hommes déguisés en nonnes fardées) me faisaient bien rire, ils me font pitié à présent mais en plus, ils volent notre argent par des subventions (je suis parisien) et portent des crucifix, singent la vraie religion, encouragent le vice.Pitié, ais-je dit ? Oui, parce que je comprends l'inversion sexuelle qui est en réalité un handicap psychologique et une des plaies de l'Occident peuplé d'enfants gâtés.J'en ai vu récemment qui, face au palais sde justice,( manifestation évidemment non déclarée, esayez, vous, de vous regrouper place Louis Lépine, siège de la police, en récitant le chapelet publiquement, par ex.) haranguaient les passants en poussant des cris et tenant des discours contre le pape, distribuant à nimporte qui des préservatifs publicitaires.Ils ne savent pas ce qu'ils font en blaspémant, je l'espère et prie pour leur conversion, aucun d'entre-eux n'étant musulman ni juif mais d'origine chrétienne.
J'approuve et soutiens l'AGRIF qui n'a que de faibles moyens pour contrer ces méfaits.