Daniel Cohn-Bendit a déclaré hier que le résultat du vote du Sénat tchèque sur le traité de Lisbonne, aujourd'hui, serait fonction des moyens de Vaclav Klaus pour acheter les sénateurs.
Tout dépendra des moyens financiers du président tchèque, "parce que pour connaître le résultat il faut savoir combien de membres du Sénat tchèque il est capable d'acheter", a affirmé Cohn-Bendit lors d'un point presse.
Le porte-parole de la présidence tchèque a traité le propos par le mépris.