Début d'une dépêche de l'AFP :
Des archéologues israéliens ont annoncé avoir découvert une représentation royale aux traits féminins, suggérant qu'une femme aurait été reine au pays de Canaan, contrairement au récit biblique qui ne fait mention que de rois.
La dépêche nous apprend ensuite que cette éventuelle reine régnait vers 1350 avant Jésus-Christ.
Et elle se termine ainsi :
Pays de Canaan est le terme utilisé dans le récit biblique pour décrire le territoire situé entre la Méditerranée et le Jourdain, avant sa conquête par Josué et les Tribus d'Israël sorties d'Égypte, vers 1200 avant JC.
Autrement dit la reine en question régnait 150 ans avant l'entrée des Hébreux dans le pays de Canaan. On ne voit pas où est la contradiction avec le récit biblique, qui n'évoque les rois de Canaan que pour relater la conquête du pays, 150 ans plus tard...
On sait que tout est bon pour discréditer la Bible. Mais il y a quand même des limites...
La dépêche intégrale
Des archéologues israéliens ont annoncé avoir découvert une représentation royale aux traits féminins, suggérant qu'une femme aurait été reine au pays de Canaan, contrairement au récit biblique qui ne fait mention que de rois.
Il s'agit d'une plaque de céramique sur laquelle est dessinée cette figure royale, mise au jour en 2008, lors de fouilles à l'ouest de Jérusalem, dans la région de Bet Shemesh, selon une publication d'avril de l'université de Tel Aviv.
La coiffe du personnage et les fleurs de lotus dans ses mains suggèrent qu'il s'agit bien d'une femme, qui aurait régné vers 1350 avant JC, selon les chercheurs responsables de la fouille, Shlomo Bunimovitz et Zvi Lerderman, du département d'archéologie de l'université.
Elle pourrait représenter, selon eux, "la maîtresse de la lionne", une mystérieuse femme qui aurait régner à Canaan, à l'époque sous tutelle égyptienne.
La reine s'était plainte au pharaon que des pillards et des rebelles avaient déclenché des troubles dans son royaume. Elle lui avait demandé de l'aide, dans un message sur tablettes d'argile découvert en Egypte, à Tel el-Amarna.
Selon les archéologues, le site fouillé recèle des vestiges d'une importante cité cananéenne, de 1.500 habitants, qui avait été détruite.
Pays de Canaan est le terme utilisé dans le récit biblique pour décrire le territoire situé entre la Méditerranée et le Jourdain, avant sa conquête par Josué et les Tribus d'Israël sorties d'Égypte, vers 1200 avant JC.
Commentaires
Dans les médias et jusqu'au Vatican, on ne parle de la bible que pour en dire du mal (au Vatican, c'est plus nuancé). On ne parle de Darwin que pour en dire du bien (au Vatican aussi).
Par conséquent on fait le "quart d'heure de la haine" dès que quelqu'un parle de la bible pour soutenir son historicité, ou contre ceux qui démontrent les fautes intellectuelles du darwinisme, son ineptie.
Ici, les médias font une critique "érudite" de la bible, ce qui est un procédé permettant de parler sans contrôle mais avec autorité, en en imposant. Parfois, "l'érudit" se contredit dans le même texte, par exemple dans cette dépêche et montre qu'il n'est qu'un masque, un goliath.
Mais, c'est pas grave, la foule ira bêlant : "Darwiine..., peuh... la bible." et jusqu'au Vatican ce sera comme çela.
Oui, certains attaquent la Bible... pendant que d'autres ne ratent pas une occasion d'attaquer l'Église catholique. Trouver le moyen d'attaquer 4 fois nommément le "Vatican" en 4 paragraphes et 14 lignes, alors qu'il n'est question que de l'AFP qui égratigne à tort la Bible à propos d'une découverte archéologique, il faut vraiment avoir la haine !
"L’Eglise catholique est la société ou la réunion de tous les baptisés qui, vivant sur la terre, professent la même foi et la même loi de Jésus-Christ, participent aux mêmes sacrements et obéissent aux pasteurs légitimes, principalement au Pontife Romain." catéchisme de saint Pie X du site jesusmarie
Donc "iktus310" me diffame gravement en disant que je dis du mal de l'Eglise que j'aurais en "haine" (pas moins !)
Je n'attaque personne, je constate que selon l'agence zenit on organise des colloques au Vatican pour défendre Darwin et tenter, par ce moyen, de le revêtir de l'autorité de Jésus-Christ. Mais le Vatican n'est pas l'Eglise et n'est pas le pape.
http://www.zenit.org/article-20360?l=french
Puisqu'il aime les statistiques (dernière évolution et la plus perfectionnée du mensonge selon Disraéli), il y a aujourd'hui dix-sept références à Darwin sur le site de zenith et je le mets au défit de trouver une seule critique fondamentale de Darwin. Alors que le darwinisme est fondé sur des paralogismes.
Le méchant iktus310 confirme cela : le darwinisme est revêtu frauduleusement de l'autorité de l'autorité de l'Eglise (qui est Jésus-Christ répandu et communiqué). Alors que l'Eglise ne peut, ni ne veut revêtir de son autorité, une théorie d'histoire profane.
Finalement la rage des darwinistes, leur incapacité à débattre autrement que par insultes, diffamations et anathèmes témoignent de leur manque de confiance dans leur théorie.
Le Vatican n'est pas l'église et le pape mais qu'est-ce que le Vatican?
"fautes intellectuelles du darwinisme"
Vous pourriez détailler svp?
@ Raph
Rapidement :
1) le concept de "sélection naturelle" est absurde, il attribue à la "nature" une intelligence et une volonté. Il attribue ainsi à un concept abstrait, ce qui ne convient qu'à une personne.
2) Seules survivent les individus adaptées et ce qui prouve leur adaptation, c'est qu'ils survivent. On "prouve" ainsi une "vérité" en la répétant sous une autre forme. Il n'existe donc aucune preuve que ce sont les meilleurs qui survivent. (Je dois cette observation à un auteur juifs dont je ne me souviens plus du nom, lu sur wikipedia)
La pétition de principe est un raisonnement apparent, qui consiste à répéter ce qui est à prouver en faisant passer la répétition (généralement sous une autre forme) pour preuve.
Pour sortir de la logique et en venir à l'expérience, 1) on voit que les individus les plus doués meurent souvent sans descendance et prématurément, alors que d'autres moins doués (du moins à vue humaine) vivent et ont une descendance. 2) Les animaux forment des sociétés rudimentaires, or dans une société tout individu est un "être pour" ou un "être avec". Il ne me semble pas que cet aspect du monde animal soit pris en compte par l'idéologie de Darwin.
Tout cela n'est pas étonnant, si, comme le fait observer Marx, Darwin n'est que la transposition des idéologies de Hobbes et Malthus etc. dans l'histoire naturelle. Le darwinisme est bien une idéologie.
"Popper a soutenu que la théorie de l'évolution darwinienne par sélection naturelle n'était pas véritablement scientifique, car irréfutable et tautologique. En effet, cette théorie énonce que si une espèce survit c'est parce qu'elle est adaptée et on sait qu'elle est adaptée car on constate sa survie. Il la qualifia ainsi de « programme de recherche métaphysique », ce qui suscita certaines polémiques, parfois très vives. Les créationnistes tentèrent notamment d'utiliser les thèses poppériennes pour discréditer la théorie de l'évolution. Le philosophe finit par rectifier ces interprétations dans une lettre adressée au magazine scientifique The New Scientist. Ultimement, il reconnut à la théorie de la sélection naturelle le statut de science véritable : il l'estimait entre autres capable d'expliquer les multiples processus de « causation vers le bas ». Une position que sa propre métaphysique évolutionniste ne pouvait que renforcer."
http://fr.wikipedia.org/wiki/Karl_Popper#.C3.80_propos_du_statut_.C3.A9pist.C3.A9mologique_de_la_th.C3.A9orie_darwinienne
Je viens de retrouver l'auteur en question. On voit que le "darwinistement correct" a fait plier Popper car son observation était juste, mais l'INITIMIDATION propre à l'idéologie moderne, l'a persuadé de mettre une sourdine à sa remarque juste.
@Merlin
La théorie telle que vous la présentez est en effet irrecevable. Mais il y a là en fait un malentendu sur son contenu.
1) Nulle part la théorie n'affirme que "sélection naturelle" est le fait d'une entité douée de volonté. L'appellation couvre un phénomène qui se produit dans la nature et que l'on peut observer avec des moyens scientifiques.
2) La théorie ne prétend ni prouver l'adaptation à un environnement, ni que les meilleurs survivent. D'ailleurs, elle n'apporte pas de jugement sur ce qu'est être meilleurs. Elle ne prétend surtout pas qu'évolution = perfectionnement.
Je vais tenter une simplification:
La sélection naturelle survient entre autre lorsqu'il y a un changement dans l'environnement qui rend la survie plus difficile.
La sélection sexuelle est celle qui s'opère par le choix des partenaires pour la reproduction. Elle a autant d'importance que l'autre sélection, et ce dès Darwin. Evidemment, elle n'a pas cours chez toutes les espèces.
La combinaison de ces facteurs de base fait qu'avec le temps, les espèces 1. évoluent, 2. qu'il en apparait de nouvelle.
@Merlin (suite)
Votre remarque sur les gens moins doués qui survivent: doués à quoi? Selon quels critères? La théorie ne cherche pas à affirmer quoi que se soit là dessus et encore moins à édicter des normes.
Par ailleurs, lorsque des individus doués se sacrifient pour le groupe, il ne perpétuent peut-être pas leur gènes propres, mais ils contribuent à perpétuer des gènes très proches. L'exemple type de ce fonctionnement est trouvé chez les abeilles.
Je n'ai rien compris aux "être avec" et "être pour", cela semble assez confus. Par ailleurs, selon quels critères qualifiez vous les sociétés animales comme "rudimentaires"?
Je suis très surpris que vous citiez Marx. Il ne m'apparaît pas comme d'une grande autorité scientifique en la matière.
Enfin, Karl Popper a visiblement été victime d'une déformation de la théorie, similaire à celle que vous avez présenté. Partant de là, il devait nécessairement conclure de la sorte. Lorsqu'il pris conscience de son erreur il rectifia. C'est ce qui est aussi arrivé à un célèbre scientifique créationniste dont j'ai oublié le nom.
« Entre tous les hommes, il doit y avoir lutte ouverte, et l’on ne doit pas, par des lois et des coutumes, empêcher les meilleurs d’avoir du succès et d’élever le plus grand nombre d’enfants. Dans un avenir, pas très lointain en comptant par siècles, les races humaines civilisées vont sans doute exterminer et remplacer les races sauvages à travers le monde. Dans le même temps, les singes anthropomorphes seront sûrement exterminés. La rupture entre l'homme et ses alliés les plus proches sera alors plus large. Elle séparera les hommes civilisés (encore plus civilisés que le Caucasien, nous l’espérons) des singes comme le babouin, plutôt que de séparer, comme aujourd’hui, le nègre ou l'Australien [aborigène] du gorille. »
« Les sauvages, les faibles de corps ou d’esprit seront bientôt éliminés ; ceux qui survivront possèderont généralement un état de santé vigoureux. Cependant, nous, les hommes civilisés, nous faisons tout notre possible pour freiner le processus d'élimination car nous construisons des asiles pour l'imbécile, le mutilé et le malade ; nous passons des lois d'assistance publique ; et nos médecins prouvent leur extrême habileté en cherchant à sauver la vie de chaque malade. Il existe une raison pour croire que la vaccination a sauvé des milliers de personnes qui auraient autrement succombé à la petite vérole. C’est ainsi que les membres faibles des sociétés civilisées parviennent à propager leur genre. Quiconque s'est occupé un jour de l'élevage d’animaux domestiques ne peut douter de la conséquence hautement nuisible que cela engendrera à la race humaine. »
Charles Darwin, La filiation de l'homme
Quand les troupes communistes ont occupé mon diocèse elles furent suivies dans un très court délai par le corps de propagande (…). La population entière, ville et campagnes, fut immédiatement organisée en catégories distinctes (…). Chacun, pendant une semaine ou plus, était forcé d'assister au séminaire prévu pour sa propre catégorie et, là, il fallait bon gré mal gré écouter la ligne communiste officielle.
Maintenant, je demande : quelle était la leçon donnée aux endoctrinés ? On pourrait supposer que c’eût été quelques perles de sagesse répandues par Marx, Lénine ou Staline ! Ce ne fut cependant pas le cas. La première leçon, la leçon fondamentale donnée fut que l'homme descendait du singe - le darwinisme ! (…)
Etes-vous surpris que les communistes chinois choisissent le darwinisme comme pierre d'angle pour construire leur nouvelle structure politique ? Au début, cette opération me laissa perplexe. (…) Plus tard, dans une geôle rouge, la raison de cette tactique inattendue me devint très claire. A cette époque j'avais très bien compris que le but premier du gouvernement de Pékin était d'extirper toute croyance et pratique religieuse en Chine, particulièrement pour détruire de fond en comble l'Eglise catholique. (…) La politique officielle, rigide et cruelle, était parfaitement claire. Religio delenda est. La religion doit être détruite.
Le darwinisme nie Dieu, l'âme humaine, et la survie. Dans ce vide le communisme entre comme le maître exclusif de l'esclavage intellectuel qu'il a créé.
Mgr Cuthbert O’Gara, évêque de Yuanling
(Cette citation, et les deux précédentes de Darwin, ont été publiées dans Daoudal Hebdo N°25, dans lequel je rappelle que Marx voulait dédier le Capital à Darwin mais que Mme Darwin, qui craignait le scandale, l'en dissuada.)
"Ces considérations m'engagent à consacrer le premier chapitre de cet ouvrage à l'étude des variations à l'état domestique. Nous y verrons que beaucoup de modifications héréditaires sont tout au moins possibles ; et, ce qui est également important, ou même plus important encore, nous verrons quelle influence exerce l'homme en accumulant, par la sélection, de légères variations successives. J'étudierai ensuite la variabilité des espèces à l'état de nature, mais je me verrai naturellement forcé de traiter ce sujet beaucoup trop brièvement ; on ne pourrait, en effet, le traiter complètement qu'à condition de citer une longue série de faits. En tout cas, nous serons à même de discuter quelles sont les circonstances les plus favorables à la variation. Dans le chapitre suivant, nous considérerons la lutte pour l'existence parmi les êtres organisés dans le monde entier, lutte qui doit inévitablement découler de la progression géométrique de leur augmentation en nombre. C'est la doctrine de Malthus appliquée à tout le règne animal et à tout le règne végétal. Comme il naît beaucoup plus d'individus de chaque espèce qu'il n'en peut survivre ; comme, en conséquence, la lutte pour l'existence se renouvelle à chaque instant, il s'ensuit que tout être qui varie quelque peu que ce soit de façon qui lui est profitable a une plus grande chance de survivre ; cet être est ainsi l'objet d'une sélection naturelle. En vertu du principe si puissant de l'hérédité, toute variété objet de la sélection tendra à propager sa nouvelle forme modifiée."
http://www.inlibroveritas.net/lire/oeuvre3167-chapitre9404.html
Ce passage de "De l'origine des espèces" démontre que Darwin passe de la sélection artificielle des éleveurs utilisant leur raison et leur volonté informées par l'expérience, à la notion de "sélection naturelle" à laquelle il attribue également une volonté et une intelligence poursuivant un but, mais sans expérience. Il ne tient pas compte de l'éventuelle réversibilité de l'évolution consécutive à la sélection des éleveurs. Il passe sous silence cette question pourtant très importante.
"la lutte pour l'existence parmi les êtres organisés dans le monde entier, lutte qui doit inévitablement découler de la progression géométrique de leur augmentation en nombre." Il prend ici pour une donnée, un fait qui reste à démontrer. Il ne parle nullement de sacrifice pour le groupe. Cette lutte pour l'existence est la guerre de tout le monde, contre tout le monde de Hobbes. Mais ce n'est pas vrai.
Rappelons que il y a quarante ans il existait un problème de la faim dans le monde avec un nombre d'habitant bien moindre. Aujourd'hui ce problème est en voie de résorbtion.
Pourquoi ? Parce que Malthus ne tient pas compte de l'amélioration des techniques, ni du fait que chaque individu est une aide pour son semblable, ainsi que de la réduction d'échelle et donc de l'amoindrissement des coûts, de l'augmentation de l'intelligence humaine par l'accroissement de la culture, tous ces faits sans compter ceux que je ne connais pas et qui sont dus au fait de l'accroissement des populations.
Quant au "meilleur", c'est bien celui qui variera, selon l'affreux Darwin, et obtiendra par ce moyen, une variation "profitable" (ha, la mentalité de "profiteur") Bien sûr il ne s'agit nullement d'être meilleur moralement, mais au contraire d'être plus méchant, plus agressif, plus malhonnête ce qui permettra de survivre dans la lutte pour la vie laquelle est "de tous les instants" (sic).
Il en de même de la "sélection sexuelle" par les femelles. Il faut imaginer un "marché du mâle" parfait et un calcul parfait de la femelle. Or cela n'existe pas même dans l'espèce humaine.
Donc je maintiens que Darwin attribue à la "nature" une volonté et une intelligence sous le terme de "sélection naturelle". En cela il attribue à un terme abstrait une intelligence et une volonté. Il veut nous faire croire qu'une série d'événements sans ordre aboutit à un ordre. Il conclut, sans aucun outil statistique, à une donnée statistique. La science mathématique statistique n'est pas utilisée dans un domaine où pourtant cet instrument intellectuel très complexe serait nécessaire.
La remarque de Shopper, avant que les "autorités" ne lui intiment l'ordre de se rétracter, est parfaitement exacte. Il "prouve" la sélection naturelle par la "sélection naturelle".
Cette idéologie est abominable et en plus elle spécieuse, mais idiote.
Merci, monsieur Daoudal, de nous avoir donné à lire ces citations pour nous permettre de juger que cette idéologie, source de beaucoup de malheurs.
L'idéologie darwiniste est la fille de l'idéologie maçonnique qui prétend que l'ordre vient du désordre. "Ordo ab chaos", ce qui est absurde. Et que les principes, en fait les idées abstraites, sont semblables à des personnes et agissent. Le Grand architecte de l'univers ainsi n'est pas Dieu, mais un "principe".
L'extrême faiblesse et vulgarité de cette idéologie est compensée par le secret ; lequel secret s'étend non seulement à la "doctrine" mais aussi à la discipline. Le secret concernant la doctrine permet d'échapper à la critique, au crible de la raison humaine et le secret de la discipline, à la justice des hommes.
Darwin n'est qu'un vulgarisateur de la "doctrine" maçonnique.
YD: Non seulement vous citez Darwin hors contexte, mais vous ne citez pas la théorie mais des conclusions qu'il en tire et que ne renieraient pas d'autres gens de son époque y compris dans le clergé.
Quand à votre référence au communistes chinois, vous êtes hors-sujet. Le détournement de la théorie par des idéologues de tout bord ne la remet pas en question.
Vous attaquez Darwin pour mieux éluder le fond de la théorie moderne de l'évolution.
Et j'oubliais: non l'homme ne descend pas du singe. L'homme et le singe moderne ont un ancêtre commun.
Si, la théorie de Darwin est consubstantielle aux idéologies modérnes : communisme et national-socialisme. Elle se situe d'ailleurs dans le fil qui va de Descartes à Hobbes, puis à Rousseau, à Malthus, à Darwin, Marx puis Nietzsche.
Elle se présente comme "science" afin de mieux intimider ses contradicteurs, mais n'est pas scientifique, ni d'ailleurs historique.
De plus, Raph, considérez que dans le cadre d'un commentaire de blog on ne peut tout dire et tout envisaer. Vos reproches sont à l'égard de monsieur Daoudal, son infondés.
Lorsque vous écrivez que l'homme actuel et le singe actuel auraient, selon vous et selon Darwin, un ancêtre commun nécessairement simiesque (à moins que vous ne prétendiez que l'homme et le singe ne descendent d'un surhomme), vous ne contredites en rien l'aphorisme darwiniste selon lequel l'homme descend du singe.
En définitive, vous fuyez le fond pour vous concentrer sur la forme.
Vous ne faites que répétez votre liturgie anti-évolution. Vous êtes un idéologue et non un scientifique.