Le chancelier autrichien Werner Faymann, dans une interview au Spiegel :
« Le fait que nous ayons fait ratifier la Constitution européenne, puis le traité de Lisbonne, par notre seul Parlement, n'est pas précisément la preuve éclatante que nous avions confiance dans l'approbation du peuple... Et maintenant, si on nous demande de voter une troisième fois, parce que les Irlandais vont peut-être voter non de nouveau, alors nous ne pouvons pas prétendre que c'est ce qu'un Parlement est habilité à faire. »