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Deuxième dimanche après l’Epiphanie

L’antienne du Benedictus de l’Epiphanie rassemble merveilleusement les trois mystères de la « manifestation » : « Aujourd’hui, l’Eglise s’est unie à l’Epoux céleste, car il l’a lavée de ses péchés dans le Jourdain ; les Mages accourent avec leurs présents aux noces royales, et les convives se réjouissent de voir que l’eau est devenue du vin. Alléluia ! »

Le 13 janvier, ancien jour octave de l’Epiphanie, était célébré le Baptême du Seigneur. Et en ce dimanche l’évangile est celui des Noces de Cana, quand Jésus, changeant l’eau en vin, « manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui ».

Le chant de la communion insiste sur la « transsubstantiation » de Cana : chaque jour, soulignait Benoît XVI dans son homélie du 6 janvier, les prêtres sont « les témoins et les ministres de l’“épiphanie” de Jésus-Christ dans la sainte Eucharistie ».

Commentaires

  • Le laïcisme dogmatise sans titre.

    Caché dans le tronc creux de l'arbre de l'Etat, il fait enseigner des "docteurs" qui n'ont aucun droit d'imposer leur "doctrine" ; il nous enseigne cette doctrine : "je n'ai pas vu la gloire du Seigneur, je ne Le connais pas".

    Nous avons vu sa gloire et c'est pour cela que nous croyons en Lui et en son Epouse, l'Eglise.

    Vive l'Ephiphanie du Christ ! Vive le Christ-Roi !

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