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Et si les Français voulaient bien revenir à la France !

Communiqué de Bernard Antony

Le développement du conflit israélo-palestinien et ses prolongements en France appellent les observations suivantes.

Deux forces qui ne sont pas issues de la majorité du peuple de France mais très puissamment structurées ou influentes s’opposent et s’opposeront toujours plus dans les médias et dans la rue:

- D’une part celle d’un islam dont la réalité, nous n’avons cessé de le faire observer, est un islamisme militant de plus en plus idéologique, structuré, fanatique, au sein duquel la conscience d’appartenance à la continuité historique et culturelle de la nation française ne semble pas constituer une donnée majeure…

- De l’autre une très forte adhésion de la grande majorité de la communauté des juifs de France à la cause d’Israël.

Des idéologues importants et manipulateurs du soi-disant anti-racisme professant sans vergogne le plus extrême nationalisme pour Israël et la plus totale hostilité à tout attachement à la préférence nationale en France sont issus de certains courants de cette communauté juive.

Les soi-disant anti-racistes de SOS Racisme et autres organisations créées par la gauche socialiste et communiste, étatiquement encouragées et financées, ont été les chevilles ouvrières de l’immigrationnisme le plus irresponsable afin de casser les fondements séculaires de l’identité française. Ils portent la responsabilité accablante, inexcusable, d’avoir mis en place les conditions objectives du développement d’un racisme réel dont on ne perçoit hélas peut-être que des signes avant-coureurs.

Les anti-racistes anti-français apparaîtront à l’évidence comme les acteurs criminels de la fracturation de notre pays selon les cassures du Proche-Orient. Ils auront été les fourriers de l’islamisme. À cet égard, les considérations de Monsieur Vauzelle sont à la fois accablantes par leur aveu réaliste et tout autant par leur totale absence d’analyse des causes et de repentance sur les responsabilités des politiciens de droite et de gauche.

Nul bien sûr ne peut rester insensible à la tragédie du peuple palestinien enfermé dans l’enfer de Gaza. Cela n’interdit pas d’observer les indignations à géométrie variable de politiciens de tous bords. Certains seraient plus crédibles aujourd’hui s’ils avaient manifesté hier les mêmes émotions lorsque les hordes palestiniennes perpétraient au Liban les immenses atrocités telles que les massacres de Damour ou encore lorsque les extrémistes communistes serbes exterminaient les blessés de l’hôpital croate de Vukovar.

Le conflit israélo-palestinien n’est hélas pas près de se terminer. Mais la France ne doit pas accepter qu’il soit transporté sur son sol. Il n’est que temps d’interdire chez nous les organisations et mosquées du Hezbollah ou du Hamas et donc bien sûr des Frères Musulmans (UOIF) dont ce dernier procède.

Il serait temps aussi que les juifs de France s’aperçoivent de l’abomination de la manipulation historique de l’anti-racisme visant à assimiler le patriotisme français et l’antisémitisme.

L’avenir de la paix civile française passe notamment par le rétablissement d’une véritable éducation nationale où l’on intégrera les enfants en leur inculquant l’amour de la patrie millénaire qui s’appelle la France et dont le peuple, pas plus aujourd’hui qu’au VIII° siècle, ne saurait accepter la domination islamiste ou celle de tout autre pouvoir étranger.

Commentaires

  • "Les soi-disant anti-racistes de SOS Racisme et autres organisations créées par la gauche socialiste et communiste, étatiquement encouragées et financées, ont été les chevilles ouvrières de l’immigrationnisme le plus irresponsable afin de casser les fondements séculaires de l’identité française."

    Ces subventions ne peuvent venir que de violation de la laïcité de l'Etat, c'est-à-dire de sa neutralité idéologique. Nous sommes en URSS et Mitterrand et Chirac étaient des tyrans.

    Quant à "l'Education nationale", je pense que Bernard Antony parle d'autre chose que ce que nous subissons. Il ne peut y avoir d'éducation que familiale ou ecclésiale et donc il ne peut pas y avoir "d'éducation nationale".

  • C'est le rôle des parents de donner l'éducation.
    C'est le rôle des enseignants de porter la culture et la connaissance.
    Toutes ces choses sont bien différentes et si nous en sommes dans l'état ou nous sommes c'est peut être tout simplement parce que nous avons laissé faire par lacheté en croyant que les gens anesthésié allaient se réveiller d'eux même.
    Tragique méprise, on nous en présente la facture de nos jours.

  • trop tard, la France n'existe plus...

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