Comme il l’avait annoncé, le président uruguayen, Tabare Vasquez, a opposé son veto au projet de loi visant à légaliser l'avortement. Suite à cette décision, les deux chambres du Congrès doivent se réunir et se prononcer à une majorité des 3/5 en faveur du texte pour contrecarrer le veto du président. Or le projet de loi dit de "santé reproductive et sexuelle" n’a été adopté que de justesse, tant à la chambre des députés (49 contre 48) qu’au Sénat (17 sur 30).
Très intéressantes précisions sur le blog de Jeanne Smits.