Iannis Roder (auteur du livre Tabeau noir) dans Le Parisien :
« Dans mon collège, de très nombreux élèves, une quinzaine par classe environ, expriment une volonté affichée de désaffiliation nationale. Ils portent des sweat-shirts aux couleurs du Maroc, écrivent Algérie en force sur leur trousse, disent que la Marseillaise, que je leur fais apprendre en 4ème , n’est pas leur hymne, ou que ça sert à rien. Ils ont un vrai problème de positionnement identitaire : pas question d’apparaître Français. Pour certains, être céfran, c’est la honte, c’est être un bouffon, un bolos (quelqu’un qui a peur), voire un jambon-beurre. Tous ou presque, mais pas les Asiatiques, préfèrent revendiquer la nationalité d’origine de leur famille, même lointaine. »
« La France, ce n’est pas leur patrie, mais un pays dans lequel ils vivent, une nationalité administrative, juste des papiers. Bref, ils ne se sentent pas Français. »
Pendant la Coupe du monde de football 2002, ses élèves soutenaient toutes les équipes possibles, mais pas la France. Quand les Bleus gagnaient certains matchs en 2006, ils lui disaient : « M’sieur, y a pas un Français dans l’équipe ! »
« Je me souviens que, lors d’un devoir d’éducation civique, une photo de trois joueurs Zidane, Karembeu, Petit était accompagnée de cette question : En quoi l’équipe de France témoigne-t-elle de la diversité de la population française ? Beaucoup m’ont répondu : Il y a un Arabe, un Noir et un Français… Seul le Blanc était considéré comme Français, alors que tous portaient le maillot tricolore. »
(Via Novopress)
Commentaires
Comment ? Ils ne répètent pas les mensonges officiels sur la "diversité" ?
C'est que la mainmise totalitaire de la gauche sur l'école n'est pas encore assez poussée.