Sammy Ghozlan, le président du Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme (BNVCA), ne chôme pas en cette mi-août.
Il y a eu l’affaire des « débardeurs antisémites », reproduisant un panneau interdisant aux juifs l’accès à un parc de Lodz en Pologne pendant l’occupation allemande. Un panneau en allemand et en polonais, sur un vêtement vendu et sans doute créé par des Chinois qui ne se sont pas demandés ce que l’inscription signifiait… Sur plainte du BNVCA, une information judiciaire a été ouverte pour « provocation à la haine, à la discrimination et à la violence raciale ».
Et voici la « vidéo antisémite », faisant défiler de nombreuses personnalités juives ou supposées telles, sur la « chanson antisémite » de Georgius « La noce à Rebecca ».
Sammy Gozlan a déposé plainte contre Dailymotion et l’auteur de la vidéo, et il va déposer plainte contre YouTube qui la diffuse aussi.
Le BNVCA a saisi le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) pour lui demander « un plus grand contrôle de Dailymotion, voire sa fermeture en cas de récidive » et a demandé au gouvernement « des mesures sévères contre Dailymotion et ses dirigeants qui hébergent la diffusion de ces vidéos illégales et antisémites sans en contrôler leur contenu au préalable ».
Patrick Gaubert, président de la Licra, et Michel Tubiana, président d’honneur de la Ligue des droits de l’homme, dénoncent également ce retour de l’antisémitisme « qui se ressource dans les pires périodes de l'Histoire », comme dit le second.
Pour remettre un peu les choses en place, voici ce que l’on peut lire sur le site Du Temps des cerises aux Feuilles mortes, qui reproduit le texte de la chanson incriminée :
On a reproché à Georgius le texte de cette chanson, reprise par la suite par Fernandel, qui, hors contexte, peut être considérée comme antisémite. - Particulièrement lors de l'épuration qui a suivi la deuxième Grande Guerre (voir à : Georgius-Chronologie, à partir de 1945). - Ceux qui l'ont fait ne connaissait tout d'abord pas Georgius qui, tout au long de sa carrière a régulièrement fait appel à des musiciens et des compositeurs d'origine juive (ou non-juive : cela lui était tout à fait indifférent - ce qui comptait, c'était le talent) et dont la chanson Il travaille du pinceau mérite d'être citée et recitée comme étant la plus antihitlérienne qu'on ait pu enregistrée (lire le texte, ça en vaut la peine : traiter ce peintre en bâtiment de beau salaud, fallait le faire, surtout en 1939 [musique de Ackermans, soit dit en passant]) et puis, ensuite, c'était mal connaître le milieu juif parisien de l'époque qui a adopté d'emblée cette Noce au point où, lors de certains mariages juifs, il s'en trouvait toujours un pour la chanter. Et on reprenait en chœur le refrain, chose impensable de nos jours. Comme quoi...
Commentaires
PETITION
Fanny Truchelut doit être relaxée
vendredi 15 août 2008
Le 6 juillet 2006, Fanny Truchelut, propriétaire d’un gîte de montagne dans les Vosges, accueillait cinq personnes qui avaient réservé leur séjour par Internet. Deux femmes de ce groupe étaient ostensiblement voilées. Surprise par un voile aussi patent, Fanny leur a demandé de bien vouloir le retirer dans les parties communes de son gîte, en hôtesse soucieuse de préserver l’harmonie d’un lieu paisible et les convictions de ses autres locataires qu’une tenue symbolisant la soumission des femmes pouvait troubler.
Son interlocutrice, Horia Demiati, militante active du port du voile - notamment sur les lieux de travail - se montrera intransigeante, repoussant le compromis proposé par la propriétaire. Devant cette attitude, et à la demande de la cliente, Fanny Truchelut lui a rendu ses arrhes, pensant ainsi clore le différend par respect mutuel. Mais Horia Demiati est allée aussitôt porter plainte, soutenue en la circonstance par le Mrap local.
Le procès de Fanny Truchelut a eu lieu quinze mois plus tard, le 2 octobre 2007, à Epinal. L’accusée, qui s’est retrouvée bien seule, a été salie par les avocats du Mrap, de la LDH, de la Licra,(quelques membres de la Licra régionale, NDLR Primo) et même par la presse locale, chacun de ces organismes s’empressant de voir en elle une femme « raciste » et, qui plus est, « peu intelligente » ! Conséquence : Fanny Truchelut a été condamnée pour « discrimination religieuse » à quatre mois de prison avec sursis et à 8.490 euros d’amende et de dommages et intérêts. L’accusation de racisme n’a pas été retenue.
On ne peut qu’être abasourdi par la sévérité d’une telle condamnation et par son incohérence avec d’autres sentences : défendre l’égalité républicaine en récusant la « négation de l’égalité des sexes » coûterait donc plus cher que mettre en danger la vie d’autrui ?
Rappelons qu’en 1998, à l’hôpital de Bourg-en-Bresse, un mari musulman, qui s’était opposé violemment à ce qu’un obstétricien assistât son épouse lors d’une délivrance difficile, s’est vu condamné à 1000 euros d’amende (il avait, quant à lui, l’outrecuidance de demander 100 000 euros de dommages et intérêts en raison du handicap dont son propre enfant a été victime suite aux interminables minutes qu’ont exigées les négociations destinées à permettre l’intervention du médecin accoucheur).
N’oublions pas que l’homme qui a menacé de mort Robert Redeker n’a été condamné qu’à 750 euros d’amende et à 6 mois de prison avec sursis, alors que depuis cette fatwa, Robert Redeker connaît l’enfer d’une existence cloîtrée.
Comment ne pas être révolté face à la situation alarmante de Fanny Truchelut, qui, peu après sa condamnation, a dû vendre son gîte, changer de domicile, pour se retrouver finalement, à cinquante-quatre ans, dans l’obligation de se reconstruire seule, avec, à charge, ses deux plus jeunes enfants !
Son procès en appel aura lieu dans les prochaines semaines, à Nancy. Nous lui apportons d’ores et déjà notre indéfectible soutien doublé d’une solidarité sans faille. Nous demandons qu’elle soit relaxée.
Une peine de prison, même avec sursis, serait déplacée pour cette femme qui a toujours veillé à éduquer ses quatre enfants dans le respect des lois.
En outre, une amende ou des dommages et intérêts, dont la plus grande partie récompenserait le Mrap, la LDH et Horia Demiati pour leur militantisme discriminatoire, serait non seulement inique mais grèverait - peut-être pour toujours - la possibilité qu’a Fanny Truchelut de s’en sortir.
Par ailleurs, ce procès est un test grandeur nature pour la société tout entière. Des directrices d’écoles, des enseignantes et des enseignants ont déjà été déférés devant les tribunaux pour avoir contesté la présence d’accompagnatrices voilées lors de sorties scolaires.
Or, le 27 juin 2008, le Conseil d’Etat a refusé d’accorder la nationalité française à une femme d’origine marocaine qui portait la burqa. Fadela Amara, secrétaire d’Etat à la Ville, a jugé cette décision « excellente, légitime, particulièrement crédible parce qu’elle se fonde sur les valeurs de notre République ».
Mieux : lorsque Le Parisien du 16 juillet dernier a demandé à Fadela Amara si elle faisait « la différence entre le voile et la burqa », la secrétaire d’Etat à la Ville a répondu ceci : « Tout est question de centimètres de tissu. Mais pour moi, c’est la même chose », rendant ipso facto « excellente, légitime, et particulièrement crédible » la décision par laquelle Fanny Truchelut s’est opposée, le 6 juillet 2006, « au port du voile, qui n’est pas un signe religieux mais, comme la burqa, un signe d’oppression des femmes » (Fadela Amara, Le Parisien, 16- 07-2008).
Toute condamnation, même symbolique, de Fanny Truchelut serait donc interprétée par les fondamentalistes musulmans comme un encouragement à multiplier les poursuites judiciaires à l’encontre de ceux qui entendent défendre « les valeurs de notre République », et contraire à l’Arrêt du Conseil d’Etat du 27 juin 2008.
Les valeurs de la République française « ne sont pas négociables » ! Voilà pourquoi nous demandons au législateur de prendre les dispositions nécessaires pour que des personnes lucides et courageuses comme Fanny Truchelut ne soient plus traînées en justice par ceux-là mêmes qui rêvent de voir les lois religieuses se substituer aux lois de la République.
Premiers signataires : Anne Zelensky, présidente de la Ligue du Droit des Femmes, Michèle Vianès, présidente de Regards de Femmes, Annie Sugier, présidente de la Ligue du Droit International des Femmes, Pierre Cassen, animateur de Riposte Laïque, président de l’Ufal des Yvelines, Robert Redeker, philosophe, Pierre-André Taguieff, philosophe et historien des idées, directeur de recherche au CNRS, Monia Haddaoui, association Ghofrane, Jean-François Chalot, président de l’Ufal 77, Martine Ruppé, présidente du Comité Ornais de Défense de la Laïcité (COD), Denis Pelletier, président sortant de l’Association Des Libres Penseurs de France, Inspecteur de l’Education Nationale honoraire, Evelyne Rochedereux, militante féministe, présidente associative, Simon Blumental, président d’Algérie Ensemble, Françoise Flamant, auteure, Léon Ouaknine, ex directeur général de l’Institut Universitaire de Gérontologie Sociale du Québec, Johannes Robyn, président de l’Union des Athées, Pascal Hilout, fondateur du nouvel islam, Jean-Claude Santana, président de l’Ufal du Rhône, Michèle Bruhat, militante féministe et laïque, Dominique Gay, médecin généraliste, Hubert Sage, président de l’UFAL-38, président du cercle "Laicité et République Sociale", Pierre Lefebvre, président de Primo, Pierre Régnier, ancien secrétaire national CFDT de la radio-télé publique, Suzy Candido, présidente de l’Ufal de Toulouse, Roland Monnet, Président du "Cercle Edgar Quinet Aristide Briand, Chantal Crabère, retraitée de l’Education nationale, Kebir Jbil, président de l’Ufal de Strasbourg, Robert Albarèdes, maire honoraire de Gréasque, Arielle Campin, étudiante en psychologie, vivant en Australie, Pierre Baracca, président de l’Ufal de Lille, Hervé Boyer, conseiller municipal à Golbey (88), Christine Tasin, militante du MRC17, Roman Bernard, rédacteur du blog Criticus, Evelyne Szafarz, professeur assistant, française, vivant aux Etats-Unis, Josiane Sberro, chef d’établissement retraite, vice-présidente Primo, Adeline Fauconnier, conseillère principale d’Education, Louis Chagnon, professeur d’histoire chargé de recherche, Simon Archipenko, président de Voltaire République, Ricardo Zugaro, pianiste concertiste, Laurence Gresse, enseignante à Echirolles (38), Jean-Loup Bidot, professeur de philosophie, Brigitte Bré Bayle, enseignante à Marseille, Liliane Messika, porte-parole de Primo, George Brousse, militant laïque (Libre Pensée), Mireille Popelin, enseignante retraitée, secrétaire de l’Ufal de Lyon, Guy Philippe, agrégé de mathématiques à la retraite, Maurice Vidal, professeur de philosophie, Pierre Crolais, militant laïque, Lemballe (22), Isabelle Voltaire, administratrice nationale de l’Ufal, secrétaire de l’Ufal 77, Radu Stoenescu, philosophe, Aube Passeron, citoyenne laïque, Denis Carnet, LDH Le Pecq, Patricia Degallaix-Maury, sage-femme, Rosa Valentini, enseignante, trésorière de l’UFAL des Yvelines, Alain Bonet, enseignant, Emmanuel Itié, ingénieur en informatique, Charlotte Bré, enseignante, Guylain Chevrier, historien, administrateur national de l’Ufal, Sorel Zissu, retraité, Régis Rousseau, photographe, Yves Pialot, retraité Education nationale (professeur de lettres), Guy Beaupin, chef d’entreprise retraité, Jean-Eric Lagesse, libraire, Jacky Eonin, retraité, Leon Tourtzevitch, enseignant retraité, Benoît Drouot, professeur d’histoire géographie en lycée, Annie Lecompte-Billard, institutrice retraitée, Vincent Maunoury, traducteur, Annie Ségure Daudé, directrice de crèche, retraitée, Michel Tonarelli, informaticien, Pierre Bellenger, ancien conducteur de travaux publics, Jacques Le Roux, citoyen laïque, Françoise Magnard, retraitée de l’enseignement public, Alain Escriou, installateur, Annick Mouillé, retraitée de l’EN, Zoé Bosquet, retraitée.
Pour signer la pétition, aller sur le site : http://www.ripostelaique.com/
À rechercher tous les "crimes antisémites", peut être que l’année prochaine, et plutôt que d’avoir des émissions comme Secret Story, le Mrap et la Licra pourraient imposer aux médias un nouveau concept la « Hystérique reality » On pourrait ainsi envisager de rejouer le procès Dreyfus pendant l’été prochain ?
À quand également un procès aux éditeurs du Nouveau Testament pour antisémitisme notoire et haine raciale ?
Ce n'est pas l'islam que combattent les militants de "Riposte laïque", c'est la violation du principe d'égalité des sexes.
Il n'y a donc aucune faute de la part de madame Truchelut. C'est cela qui compte : les droits de l'homme ne sont pas facultatifs, les juges français commettrons une prévarication s'ils condamnent madame Truchelut.
Il existe au-dessus des principes démocratiques des valeurs non négociables. La liberté religieus dégénère en abus si elle permet la violation des droits de l'homme.
"En outre, comme la société civile a le droit de se protéger contre les abus qui pourraient naître sous prétexte de liberté religieuse, c'est surtout au pouvoir civil qu'il revient d'assurer cette protection; ce qui ne doit pas se faire arbitrairement et à l'injuste faveur d'un parti mais selon des normes juridiques, conformes à l'ordre moral objectif, requises par l'efficace sauvegarde des droits de tous les citoyens et de leur pacifique accord, et par un souci adéquat de cette authentique paix publique qui consiste dans une vie vécue en commun sur la base d'une vraie justice, ainsi que par le maintien, qui se doit, de la moralité publique."
Dignitatis humaanae
Il faut donc clairement interdire les propagandes contre les droits de l'homme et de l'accord pacifique de tous et de la moralité publique.
Cela dit sur son site riposte laïque se moque de la messe et du pape, il viole ainsi sans s'en apercevoir la liberté religieuse et les droits de l'homme à pratiquer la religion qu'il souhaite.
"Il faut donc clairement interdire les propagandes contre les droits de l'homme et de l'accord pacifique de tous et de la moralité publique."
Il fallait lire :
"Il faut donc clairement interdire les propagandes contre les droits de l'homme et contre l'accord pacifique de tous au nom de la moralité publique."
http://vudejerusalem.20minutes-blogs.fr/
Interview explosive du fils d'un dirigeant du Hamas, converti au christianisme
C’est le journal Haaretz qui avait le premier publié l’information : le fils d’un important dirigeant du Hamas en Judée Samarie, Massab Yousef, s’est converti au christianisme et vit désormais aux Etats-Unis. Dans une longue interview au journaliste Avi Issaharof , Yousef parle de sa famille, de son enfance, de son séjour en prison, de la cruauté des membres du Hamas et de la corruption de ses dirigeants, et de sa conversion. Quinze jours plus tard, Massab Yousef donne une interview à la télévision américaine Fox News , où il parle à visage découvert.
Les médias francophones n’ont pratiquement pas parlé de cette conversion spectaculaire, à l’exception d’un court article sur Aroutz 7. C’est pourquoi nous donnons ci-dessous des extraits plus conséquents de la longue interview au supplément d’Haaretz.
Massab Yousef, aujourd’hui âgé de 30 ans, a grandi dans une famille très pratiquante. Son père, le sheikh Hassan Yousef, est un des principaux dirigeants du mouvement islamiste palestinien, le Hamas, en Judée Samarie (Cisjordanie).
La corruption du Hamas
« En 1996, alors que j’étais âgé de 18 ans, j’ai été arrêté par Tsahal, car j’étais à la tête de l’association islamique de mon lycée, qui était liée au Hamas. Au cours de 16 mois de détention en prison, j’ai découvert le visage véritable du Hamas. C’est une organisation fondamentalement mauvaise. C’est à la prison de Megiddo que j’ai découvert la vérité sur le Hamas. Ses dirigeants bénéficiaient d’un traitement de faveur, plus de nourriture et de visites. Ces gens n’ont pas de morale, mais ils ne sont pas idiots comme ceux du Fatah, qui volent ouvertement et dont la corruption est visible au grand jour… Les dirigeants du Hamas reçoivent de l’argent par des voies détournées, le placent dans des lieux secrets et mènent aux yeux de tous une vie modeste… »
Les tortures
« Il suffit qu’ils soupçonnent quelqu’un de donner des informations au Shin Beth [les services de sécurité israéliens] pour qu’ils lui fassent subir des tortures cruelles : ils lui brûlent du plastique sur le corps, lui mettent des allumettes enflammées entre les orteils, lui rasent la tête pour l’humilier… »
Massab et Israël
Massab Yousef raconte au journaliste de Haaretz qu’il aime écouter la musique israélienne, surtout Eyal Golan. Mais son chanteur préféré est… Leonard Cohen ! De son exil californien, Massab a la nostalgie de sa famille, de ses frères et soeurs, et de sa ville palestinienne, mais aussi d’Israël, dont il a appris à apprécier la culture et la liberté : « donne le bonjour à Israël, qui me manque », lance-t-il au journaliste de Haaretz.
Le Hamas, l’islam et la paix
« Vous autres, les Juifs, devez savoir que jamais, au grand jamais, vous ne ferez la paix avec le Hamas. L’islam, en tant qu’idéologie qui lui sert de guide, ne leur permet pas de conclure un accord de paix avec les Juifs. La tradition [musulmane] enseigne que le prophète Mahomet a combattu les Juifs, aussi ils doivent poursuivre le combat jusqu’à la mort… Du point de vue du Hamas, la paix avec Israël est contraire à la sharia et au Coran, car les Juifs n’ont pas le droit de rester en Palestine ».
Le retrait israélien de Gaza
Pour Massab Yousef, tout signe israélien de faiblesse encourage le Hamas et les Palestiniens à poursuivre leur combat et notamment les attentats-suicides. « Les failles dans votre capacité de résistance nous ont encouragé et ont prouvé que les attentats-suicides étaient une arme efficace. Le plan de retrait d’Ariel Sharon [de Gaza] était une grande victoire, découlant de nos opérations. Une des meilleures preuves à nos yeux de la crise de la société israélienne découlant des attentats suicides était le phénomène de l’insoumission dans Tsahal… C’est pourquoi nous avons poursuivi les attentats… la seule chose qui a mis fin [provisoirement] aux attentats était la riposte de Tsahal contre les chefs du Hamas.
Traduction de l’hébreu et intertitres, Pierre I. Lurçat
Dans le fond, Lapinos, vous êtes un bon auxiliaire de police de la pensée : je vous cite
"Sur la base des plaidoiries de Merlin, tout serait possible en droit français. Un restaurateur laïc pourrait refuser de servir du poisson le vendredi à un catholique qui le réclamerait en se déclarant choqué dans ses convictions laïques par une telle demande, etc.
Il est normal, conforme aux règles commerciales en vigueur, qu'un musulman ou un juif qui mange dans une cantine publique et paie son repas, puisse choisir le genre de viande qu'il veut manger - à moins de révoquer l'Edit de Nantes une nouvelle fois, ce que les laïcs au fond rêvent de faire au profit de leurs dogmes, sans avoir la franchise de le dire."
Archi faux, renseignez-vous sur la signification du voile.
"Fatima Naseef, dans son ouvrage intitulé "Droits et devoirs de la femme en Islam", lorsqu'elle qualifie le port du "Hidjâb" comme étant un "droit à la décence".
"en portant le voile, la femme musulmane fait acte de soumission et d'obéissance envers Allah, mais agit également pour sa protection morale (...)."
http://www.islamfrance.com/femmeislamhidjab.html
C'est-à-dire que les femmes qui ne portent pas de voile sont indécentes et non protégées.