Grande émotion dans les médias : aux JO de Pékin, les journalistes n'auront qu'une version censurée d'internet, comme tous les citoyens chinois qui n’ont accès à aucun des sites considérés comme « subversifs » par les autorités.
« Depuis le MPC, l'AFP a pu constater l'impossibilité d'accéder à des sites dissidents, pro-tibétains ou ceux d'organisation de défense des droits de l'homme, comme Amnesty International ou Reporters sans frontières. Lors d'un entretien exclusif avec l'AFP il y a deux semaines, le président du CIO Jacques Rogge s'était pourtant félicité de la liberté accordée à la presse étrangère. »
La promesse, soulignent les autorités chinoises, était qu’il n’y aurait pas de censure sur le travail des journalistes étrangers et que ceux-ci auraient « suffisamment » accès à inernet…
Les journalistes et les responsables olympiques sont indignés…
Tous ces blaireaux vont peut-être finir par découvrir qu’ils vont dans un pays communiste…
Mais aujourd’hui, Le Figaro titre sans rire :
« Les Chinois, champions des nouveaux usages du Web »…