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5 millions ?!

Selon les organisateurs de la parade homosexuelle de Sao Paulo, au Brésil, ils étaient 5 millions à défiler hier dans l’avenue Paulista, au son de la samba et de la techno, tandis que les drapeaux arc-en-ciel fleurissaient aux balcons et jusque sur les monuments officiels.

Le chiffre est crédible (à un million près, mais qu’importe), puisque les autorités prévoyaient 3,5 millions de participants (dont 320.000 touristes étrangers...).

Le principal slogan était : « L’homophobie tue : pour un Etat vraiment laïque »...

Addendum

Selon la police militaire, il y avait environ un million de personnes, dont 330.000 touristes.

La veille, à Bucarest, ils étaient... 200, encadrés par... 1.200 policiers.

Vive la Roumanie.

Commentaires

  • Des "touristes" ou des "touristes sexuels" ?

  • ils se multiplient sans se reproduire...

  • Reuters annonce "plus d'un million" (on en perd 4 au passage)
    Figaro, Monde, Tribune, Yahoo news... reprennent en coeur !

    Pour une fois que ce n'est pas une manifestation sympathique qui en fait les frais !

    Il faut souligner également la déclaration de la ministre du tourisme :
    "Voilà la diversité que veut notre pays, la diversité que nous devons encourager puisque nous cherchons à attirer un tourisme de niche parmi la communauté homosexuelle".

    niche ? homosexuel ? ce n'est pas de la discrimination ça ?

  • Dites donc, 5 millions de p… en train de défiler, ça doit être impressionnant.
    Dans les années 1950 il était de bon ton de prédire que dans 30 ans le Brésil serait le premier pays du monde. Cinquante ans ont passé et le Brésil vit des aides diverses des grands organismes mondialistes, c’est à dire de nos deniers. Ce que ces grands « futuristes » avaient oublié c’est que la richesse d’un pays provient du travail de sa population. Un pays qui danse la samba six mois par an et prépare son carnaval les six autres mois ne risque pas de beaucoup s’enrichir. Par contre il y a de l’argent pour ce genre de débauche.

  • [pour abad]
    Pas tout à fait d'accord : il y a quand même des gens sérieux au Brésil. Regardez, par exemple, la réussite d'Embraer...

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