Jean-Marie Le Pen était ce matin l’invité de France Inter. A propos de ce qui préoccupe la classe politico-médiatique quant au voyage de Nicolas Sarkozy en Tunisie, à savoir les « droits de l’homme » (et non l’immigration programmée), il a répondu :
« Quand on se veut le représentant de commerce d’une industrie qui en a bien besoin, on doit quelquefois manger son chapeau… Et s’il fallait ne serrer la main qu’aux démocrates dans le monde, on n’aurait pas souvent l’occasion de sortir sa main de sa poche. Alors le président essaie de faire contre mauvaise fortune bon cœur. Il visite un pays étranger et ne se croit pas obligé de donner des leçons au reste du monde. Ça le change des habitudes… »