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Le Kosovo serbe aux mains des bouchers de l'UCK ?

Communiqué de Bruno Gollnisch

Carla Del Ponte, ancien procureur du Tribunal Pénal International pour l'ex-Yougoslavie, publie un livre coécrit avec Chuck Sudetic, un américain d'origine croate, qui accuse les chefs Albanais du Kosovo, dont l'actuel Premier ministre Hashim Thaçi, d'avoir fait entre autres, un trafic d'organes prélevés sur des prisonniers serbes.

L'horreur est à la hauteur du scandale que provoque cette révélation pour le moins inattendue de la part de Madame Del Ponte. On y apprend que des centaines de prisonniers serbes ou slaves se voyaient prélever un rein avant d'être sommairement exécutés pour servir de réserve pour les organes restants.

Bien que, cette fois ci, la fourniture de preuves soit difficile pour Madame Del Ponte, on remarque à travers cet ouvrage qu'elle se lamente au sujet des violences contre les témoins disposés à parler des crimes commis par les membres de l'UCK. Outre cette étrange naïveté, cette information arrive malheureusement bien tard à l'heure où le nouvel ordre mondial exige l'indépendance du Kosovo, berceau de la civilisation serbe, au profit des terroristes albanais.

On est aussi en droit de se demander, à la suite de ses révélations, si Madame Del Ponte va changer de camp ? Elle qui fut une vraie passionaria dans sa traque et sa condamnation acharnée des patriotes serbes et croates alors que demeure une   impunité plus que douteuse des criminels de guerre et mafieux bosniaques ou albanais.

[On parle beaucoup ces jours-ci des révélations de Carla del Ponte. Rappelons que c’était la une de National Hebdo daté du 3 avril : « Disparus du Kosovo : un trafic d’organes couvert par l’ONU et l’OTAN ? »]

Commentaires

  • A la lecture de cet article chacun peut comprendre pourquoi nous vivons à une époque et dans un pays pourris.

    Deux poids, deux mesures pour les Serbes et les albanais.

    Surtout on peut légitimement se demander si cela n'avait pas été National Hebdo qui avait révélé l'affaire le 3 avril mais Li Monde ou Al Liberatioun, si l'information n'aurait pas été reprise tout de suite en citant son origine.

    Quand National Hebdo révèle une info, elle n'est pas reprise pour éviter de lui faire de la publicité.

    Deux poids, deux mesures là encore.

    Les maîtres censeurs feraient bien de se méfier car de plus en plus de Français estiment que les grands quotidiens ou hebdomadaires sont totalement vides de révélations voire d'informations mais pleins d'idéologie crasse et de pensée unique : c'est pourquoi leurs ventes diminuent.

  • Et le french doctor, il semble bien que ces faits, qui continuent, se passait déjà alors qu'il était en charge du dossier Kossovo.

    Mais ont doit supposer que le poids médiatique des victimes serbes étant inexistants, il ne pouvait pas les voir.

    Quand on est bon a rien,n'est-ce pas!

  • Les sacs Vuitton de la "Procureure" en chef
    Nenad Pejić, Radio Slobodna Evropa, 7 avril 2008,
    Radio Evropa e Lirë, 11 avril 2008

    Les affirmations de Carla Del Ponte dans son livre sur le « trafic d’organes de Serbes enlevés par des Albanais » ont été diffusées par la télévision d’Etat en Russie, avec des illustrations d’images télévisées. Or, ces images venaient d’un camp de la région de Prijedor en Bosnie occidentale, et ce qu’on présentait comme des « Serbes du Kosovo enlevés par des Albanais », c’étaient les Bosniaques que les Serbes avaient emprisonnés dans ce camp.


    Tout est possible mais il y a une chose qui ne l’est pas – d’une Procureur en chef, de quelque Tribunal que vous vouliez, on ne s’attend pas à ce qu’elle expose au public des détails piquants de ses investigations susceptibles d’insulter les uns, dévoiler l’identité des autres, exciter la haine chez des troisièmes, ridiculiser des quatrièmes, et accuser sans preuves les cinquièmes. On aurait été plus intéressé par un livre dont le thème aurait été l’échec à expédier à La Haye les inculpés les plus recherchés.

    Je connais une dame qui ne manquait pas de soupirer à chaque fois qu’elle voyait apparaître sur un écran Carla Del Ponte, l’ancienne Procureur en chef du Tribunal International pour les crimes de guerre en ex-Yougoslavie. Ses soupirs n’avaient aucune espèce de caractère politique : « à chaque fois elle a un nouveau sac Vuitton », commentait-elle, jalouse. Cette Carla-là n’est plus sous les feux de la rampe, on la voit plus rarement à l’écran, de sorte que cette jalousie-là s’atténue doucement.

    Lorsque vous réfléchissez au métier de Procureur en chef pour un Tribunal Pénal International, ce qui vous saute aux yeux en permanence c’est la gravité des crimes qui ont été commis, et la difficulté à les prouver pour ledit Procureur en chef. En effet, dans les Balkans tout le monde « sait » qui est coupable de crimes et pour beaucoup on n’a même pas besoin de les prouver. Cependant, un tribunal est un tribunal, et en l’absence de preuves personne n’est coupable de rien. C’est pour cela que suivant les pays, le travail de Carla Del Ponte, quoi qu’elle fît, était accueilli par des réactions différentes : lorsque les uns se réjouissaient de l’un de ses succès, les autres étaient déçus ; et chaque fois que l’on relâchait quelqu’un il y en avait qui étaient furieux, tandis que les autres se réjouissaient –et vice-versa

    Depuis quelques semaines, cependant, les médias de l’espace ex-yougoslave se sont unis pour publier des citations du livre La chasse : moi et les criminels de guerre de Carla del Ponte . Chacun, bien sûr, cite ce qui l’arrange et là, il n’y a rien de nouveau. Ce qui est nouveau, ce sont les citations et les assertions qui –au plus bas mot– déconcertent.

    En Serbie, naturellement, et à juste titre, on réagit avec fureur à la mention dans le livre du fait que la Procureur en chef avait reçu des indications sérieuses du fait que certains Albanais auraient fait du trafic d’organes à partir de Serbes enlevés. Dans son livre Del Ponte affirme, disent les journalistes de Serbie, qu’en 1999 on a retiré des organes à des gens disparus au Kosovo pour les vendre à des cliniques à l’étranger et que ces victimes-là ont été enlevées après le bombardement de l’OTAN. La source d’une telle affirmation serait un groupe de « journalistes dignes de confiance ». Tout aussi furieusement, et légitimement, on réagit à Prishtina pour nier qu’une telle chose se soit produite. La piste aurait, soi-disant, conduit à une maison à proximité de l’aérodrome de Tirana, mais ses enquêteurs n’ont réussi à trouver aucune espèce de preuve matérielle. Les spécialistes affirment qu’il est impossible de trafiquer des organes humains d’une manière aussi « primitive », et que pour cette sorte de commerce il faut un matériel beaucoup plus avancé et de bien meilleures conditions, mais peu nombreux sont ceux qui prennent en compte leur opinion. Tout cela, bien sûr, la télévision d’Etat de Russie l’a diffusé et ce dimanche à une heure de grande écoute, déclaré que les Albanais avaient vendu les organes de Serbes enlevés, accompagnant le tout de prises de vue télévisées. Seulement, les images venaient de camps… de la région de Prijedor, et les Bosniaques emprisonnés, on les présentait comme des Serbes du Kosovo.

    En Croatie la presse cite des passages du livre selon lesquels ce serait peut-être sa femme qui aurait livré le général Gotovina parce que celui-ci l’aurait trompée avec une autre. Encore dans le livre, il paraît que ce mois-là, l’épouse du général, après une conversation téléphonique avec son mari, n’aurait pas change la carte SIM de son téléphone mobile, après quoi elle c’est toujours par le même numéro qu’elle aurait gardé le contact avec celui-ci, ce qui aurait permis de le localiser. L’épouse d’Ante Gotovina aurait été une femme « délaissée, comme tant de ces autres femmes dont je m’étais occupée à Lugano, lorsque je traitais des affaires de divorce », et c’est pourquoi elle aurait omis, quelques mois plus tôt, de changer la carte SIM de son portable, ce qui aurait permis l’arrestation du général.

    Pour sa part, le portail Web "24sata.hr" mentionne une sorte de plaisanterie rapportée par la Procureur en chef et qui dirait « les Serbes sont des fils de pute, mais alors les Croates, ce sont des sales fils de pute ». Del Ponte cite soi-disant un procureur canadien mais ne dit pas son nom. Un autre traducteur [de l’italien, à partir de l’anglais] a employé les expressions « bâtard » et « bâtard perfide ». Alors quelque plaisantin pourra dire en Serbie :

    « nous valons mieux qu’eux : nous ne sommes que des fils de pute, mais eux en plus ils sont sales ».

    D’une personne qui a consacré toute sa carrière à trouver des PREUVES de ses affirmations, il est des plus étonnant qu’elle publie dans son livre des choses pour lesquelles il n’existe aucune preuve. Et surtout, c’est d’autant plus étonnant que l’on sait à quel point de telles affirmations sans preuves vont engendrer dans les Balkans de nouvelles vagues de haine et de suspicion.

    De quel Droit Madame del Ponte déclare-t-elle que sa femme a peut-être trahi Gotovina parce qu’il l’aurait trompée avec une autre femme ? Est-ce entendu comme un appel à lyncher l’épouse en question ? [Ante Gotovina est un héros national pour les Croates qui pensent, non sans raison, que c’est à tort qu’il se trouve accusé] Qui, où et quand, a le droit de déclare de quelqu’un qu’il a « peut-être » fait quelque chose ? Alors maintenant, il va y avoir des journaleux pour se délecter de ces racontars, tandis que ceux qui sont embarqués dans cette histoire vont se terrer dans des trous de souris pour la seule raison que la Procureur en chef a dit que peut-être quelqu’un aurait fait quelque chose.

    Ou encore, autre racontar, quel Droit a-t-on de publier une histoire de trafic d’organes humains alors qu’on n’en a trouvé aucune espèce de preuve ? C’est en vain désormais que les experts affirment qu’il n’est pas possible d’extraire des organes humains dans les conditions qu’a décrites Carla Del Ponte. Ca fait belle lurette que ces organes sont devenus « serbes », ceux qui auraient « fait » cela sont devenus « albanais », alors même que sur toute cette histoire pèse un nuage de doute noir et épais sur la question de savoir si c’est seulement arrivé.

    Ou alors, quel Droit la Procureur en chef a-t-elle de déclarer d’un peuple, le serbe, qu’il est fait de « fils de pute » et d’un autre, le croate, de « sales fils de pute » ? Peu importe que Carla Del Ponte ne fasse que citer une sorte de procureur canadien, et peu importe encore qu’elle ne donne pas son nom, ou qu’il s’agisse d’une plaisanterie qui tombe à plat. Ce qui compte, c’est le témoignage que cela porte sur la disposition d’esprit qui régnait, même pour plaisanter, envers ces peuples-là dans ce Parquet-là.

    Carla Del Ponte était Procureur en chef, et sa tâche principale était d’apporter les preuves que le crime ne paie pas. Et son incapacité à prouver les crimes de Vukovar, à mener à bien le procès Milošević, le ridicule des jugements contre [Tihomir] Blaškić et [Veselin] Šljivančanin –imposent de se poser sérieusement la question de savoir si cette tâche-là, elle s’en est acquittée.

    Alors évidemment, il est aussi possible que mes collègues journalistes aient sorti de leur contexte tous ces détails piquants, mais je n’ai toujours pas lu un seul démenti de quelque texte que ce soit. Peut-être que l’auteur de La chasse : moi et le criminels de guerre a juste réussi le lancement de son livre sur le marché, et qu’on se presse déjà en Italie pour être le premier à l’avoir lu après sa parution en librairie (la Rédaction de Radio Slobodna Evropa --Radio Europe Libre-- traduira dès demain des passages du livre, qu’on pourra lire à l’adresse http://www.slobodnaevropa.org)

    Bref, tout est possible mais il y a une chose qui ne l’est pas : d’une Procureur en chef, de quelque Tribunal que vous vouliez, on ne s’attendait pas à ce qu’elle expose au public des détails piquants de ses investigations susceptibles d’insulter les uns, dévoiler l’identité des autres, exciter la haine chez des troisièmes, ridiculiser des quatrièmes, et accuser sans preuves les cinquièmes. Et on aurait vraiment été plus intéressé par un livre qui aurait traité de son échec à expédier à La Haye les inculpés les plus recherchés.

    Si la moitié seulement de ce que citent les journaux est authentique, ces gribouillages font perdre toute crédibilité comme auteur à Carla del Ponte. Et si on voulait se jouer des mots, et du sort des gens, comme il semble que Carla Del Ponte le fasse dans son livre, on écrirait qu’un auteur sans crédibilité ne peut guère être un magistrat crédible. Car d’un auteur indigne de confiance à un Procureur du même métal, la distance n’est pas si grande.

    Avec ou sans sacs Vuitton.

  • Comme l'ont fait remarquer Nenad Pejić mais aussi son ancienne porte-parole Florence Hartmann, le seul fait que Carla Del Ponte publie des on-dit de on-dit, c'est-à-dire des racontars même pas attribués, suffit à la discréditer comme responsable d'une recherche sérieuse de la vérité.

    "un tribunal est un tribunal", dit Pejić à juste titre, "et sans preuve(s) personne n'est coupable de rien"
    Les verdicts du Tribunal dans les affaires Orić (deux ans pour simple responsabilité hiérarchique) et Haradinaj (acquittement pur et simple), ont déjà prouvé le manque de sérieux de Carla Del Ponte une fois privée de Florence Hartmann (elle-même témoin à charge dans l'affaire d'Ovčara, dont elle a découvert le charnier).
    Celle-ci a par ailleurs témoigné des négligences du procureur adjoint Geoffrey Nice dans l'affaire Milošević, refusant d'inculper celui-ci pour génocide dans l'affaire de Srebrenica --alors qu'on avait des transcriptions du Conseil Supérieur de Défense de la soi-disant "République Fédérale de Yougoslavie" qui montrent que Milošević avait connaissance du massacre et qu'il l'approuvait.
    Le procès d'Ante Gotovina confirmera ce manque de sérieux et renforcera ce discrédit : on y a découvert jusqu'à présent que le Procureur s'est fondé sur des montages de propagande serbe --notamment de Savo Štrbac, haut fonctionnaire de la grande Serbie et négationniste impudent pour ce qui est des crimes, dûment condamnés par le Tribunal lui-même, de Milan Martić et autres Serbolchéviques.
    La conséquence en est qu'à l'occasion des contre-interrogatoires, les témoins de l'accusation contre les généraux croates se transforment les uns après les autres en témoins de la défense, et ses "éléments à charge" ne prouvent plus que la fourberie des Serbes.

    Par définition, un tribunal pénal international est là pour juger à la place des Etats que l'on estime indignes de juger les crimes que, suivant le droit commun, ils devraient juger : c'est une mise en cause de leur souveraineté fondée sur leur incapacité présumée, c'est donc une mise sous tutelle exceptionnelle de leur fonction judiciaire.

    C'est d'ailleurs pour cela qu'un tel tribunal ne saurait être légitime si on le veut universel et permanent, comme on cherche à en instituer un : universel, il serait dirigé contre des Etats de Droit a priori aussi compétents voire davantage que lui ; permanent, il serait incontrôlable, ne représentant plus qu'une "élite" internationale autoproclamée, institutionnellement hostile à la démocratie et prenant ses usurpations du pouvoir social pour une défense des Droits de l'homme.
    C'est aussi pour cela qu'au Tribunal de Nuremberg, on n'avait jugé que les dignitaires de certains des Etats agresseurs, et principalement pour le fait de leurs agressions.

    Le Tribunal Pénal de La Haye a lui aussi été institué en réaction à une guerre d'agression menée par un Etat de facto, la soi-disant "République Fédérale de Yougoslavie", contre un autre Etat, pour sa part internationalement reconnu, la République de Bosnie-Herzégovine, et qui visait à détruire celui-ci. Cependant, c'est pour ne pas tirer les conséquences de cette agression, pourtant dûment constatée à plusieurs reprises, notamment pour fonder les sanctions du Conseil de Sécurité, qu'on l'a institué.

    Tout d'abord, sa création était un alibi "humanitaire" au refus de défendre l'Etat-victime contre l'Etat agresseur, alors que la Charte des Nations Unies en faisait obligation à ses signataires.

    Ensuite, ce Tribunal-là n'a pas été institué pour juger les dirigeants de l'Etat agresseur, mais les crimes de guerre "de toutes les parties".
    Il met donc sous tutelle les Etats victimes aussi bien que l'Etat agresseur, jugeant implictement les uns et les autres également indignes, d'une égale mauvaise foi, incapables tout autant les uns que les autres de juger honnêtement.

    Cette injustice majeure sous couleur d'impartialité disqualifie déjà en soi le tribunal : contre les agresseurs, les poursuites passent à côté de l'essentiel -- ce que le Tribunal de Nuremberg appelait des "crimes contre la paix" ; et fatalement, cette pseudo-impartialité forcée a conduit le Parquet à fabriquer des inculpations contre les défenseurs des Etats victimes.

    Or, là aussi cette pseudo-impartialité est en soi injuste parce que seul l'Etat de Serbie avait fait de l'extermination des populations civiles un élément central de ses buts de guerre --et que c'est pour cela qu'il a commis les quatre cinquièmes des crimes constatés (les neuf dixièmes en Bosnie-Herzégovine d'après le rapport Bassiouni de 1994).
    Les crimes ordonnés par l'Etat serbe sont donc de nature foncièrement différente, et d'une ampleur sans commune mesure avec ceux de ses victimes.

    C'est pour cela que les poursuites que le Parquet du Tribunal a lancées contre les défenseurs, dans les Etats victimes de l'agression, se traduisent par des verdicts ridicules : ridicules parce qu'elles donnent une nouvelle occasion de mesurer cette disproportion, et ridicules parce qu'elles sont trop souvent tirées par les cheveux.
    Bien entendu, les peuples victimes perçoivent cette mise en tutelle de leurs Etats comme une injustice institutionnelle et une négation de leur souveraineté acquise au plus haut prix : en plus de discréditer le Tribunal, cela en fait en soi un obstacle à la paix et au développement de l'Etat de Droit.

  • Ce n'est pas pour embêter les Russes que les Yanquis ont libéré les Kosovars, mais pour empêcher leurs moeurs politiques de pourrir le reste de l'Europe.
    La Serbie est le seul pays d'Europe occidentale dont la mafia dirigeante -- la "Tcharchia"-- ait assassiné son propre Premier Ministre, mais la mafia au pouvoir en Russie a déjà organisé des attentats contre son propre peuple pour arriver au pouvoir, et assassiné ses critiques partout dans le monde.
    Comme le libération de l'Irak pour les musulmans, la libération du Kosovo vise à terme à purger les Serbes d'une conception de la politique qui méconnaît les Droits aussi bien des opposants que des autres peuples.
    Conception qui prévaut certes aussi en Russie, mais la Serbie, elle, n'est pas un cas désespéré.

  • N'importe quoi.

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