Acathiste à la Mère de Dieu, strophe XX
Toute louange, même exubérante, demeure impuissante à décrire l’abondance de ta grande miséricorde, ô Roi Saint, car même si nous t’adressons des hymnes aussi nombreuses que les grains de sable de la mer, jamais nous ne saurions compenser un tant soit peu ce que tu nous a donné, à nous qui te crions : Alléluia !
Alléluia !