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Razzy Hammadi se ramasse

D’abord pressenti à Hénin-Beaumont, Razzy Hammadi, ancien président du MJS, devenu secrétaire national du PS à la Riposte , avait été imposé par le PS à Orly. Il s’agissait à la fois de promouvoir la « diversité » et de propulser le jeune homme aux dents longues, en envoyant à la retraite le maire socialiste sortant Gaston Viens.

Mais il a été très mal reçu par les socialistes locaux, dont plusieurs ont préféré se présenter sur les listes du maire sortant ou de la communiste Odette Terrade.

Résultat : bien que François Hollande et Bertrand Delanoë soient allés sur place le soutenir, Razzy Hammadi n’est arrivé qu’en quatrième position, avec 13,3% des voix, très loin derrière le maire sortant qu’il devait pousser dehors (35,8%).

De dépit, il a décidé de se retirer, en disant tout le mal qu’il pense d’Odette Terrade, avec qui il avait conclu un accord de fusion des listes pour le second tour, mais qui l’a rejeté en dénonçant l’arrogance du jeune loup...

(Razzy Hammadi est ce personnage selon lequel le Front national, ce sont des gens qui « veulent tuer tous les juifs et tous les noirs ».)

Commentaires

  • L'inénarrable cour d'appel a bien dit dans "arrêt" :

    « instille dans l'esprit du public la conviction que la sécurité des Français passe par le rejet des musulmans et que l'inquiétude et la peur, liées à leur présence croissante en France, cesseront si leur nombre décroît et s'ils disparaissent »

    Elle reprend donc l'argument de Razzy Hammadi en l'appliquant aux musulmans. "et s'ils disparaissent" peut avoir deux sens, mais rien n'interdit de le lire comme "s'ils meurent".

    Lorsque les juges diffament et incitent à la haine... la situation est dramatique.

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