6e ode de l’Acathiste à la Mère de Dieu
Venons, sous une inspiration divine, applaudir des mains et célébrer cette divine et glorieuse fête de la Mère de Dieu, et glorifions Dieu qui est né d’elle.
Très sainte Mère de Dieu, sauvez-nous.
Salut, ô toute Immaculée, chambre nuptiale sans souillure du Verbe, cause de la divinisation de tous, écho de la prédication des prophètes et ornement des apôtres.
Très sainte Mère de Dieu, sauvez-nous.
C’est de vous, ô Vierge, que fut distillée la rosée qui a éteint la flamme du polythéisme. Aussi nous vous crions : Salut, toison couverte de rosée que Gédéon contempla par avance.
Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit.
Voici que nous vous crions : Salut, soyez un port et un refuge, pour nous qui fendons les flots d’une mer de tribulations et de toutes sortes d’embûches suscitées par notre ennemi.
Maintenant et toujours et dans les siècles des siècles. Amen.
Cause de joie, remplissez nos esprits de grâce afin de vous acclamer : Salut, buisson ardent qui ne vous consumez pas, et nuée lumineuse qui ombragez sans cesse les croyants.