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82% !

Dans un sondage OpinionWay pour Le Figaro et LCI, on demande aux sondés ce qu’ils pensent du mode de gouvernement de Nicolas Sarkozy : la manière dont il reçoit les chefs d’Etat étrangers, la manière dont il s’exprime, son comportement lors des déplacements à l’étranger, sa capacité à diriger le gouvernement (alors que selon la Constitution , c’est le Premier ministre qui dirige le gouvernement...). Sur chacun de ces sujets, le score tourne autour de 50% de personnes qui jugent que son comportement « correspond bien » à l’image qu’elles se font de la fonction. Ce qui n’est déjà pas glorieux.

Mais en ce qui concerne « son comportement concernant sa vie privée », ils ne sont plus que 18% à juger qu’il « correspond bien » à l’idée qu’ils se font d’un président.

82% jugent que ce comportement « correspond mal » à cette idée !

Et ils ne sont que 35% des électeurs de Nicolas Sarkozy à penser que son comportement correspond à l’image qu’ils se font d’un chef d’Etat...

Commentaires

  • Ces histoires de cote de popularité me semblent symptomatique d'une société qui ne tourne pas rond, qui ne sait pas ce qu'elle veut, qui se cherche.

    Quelques mois après son élection, NS sombre dans les sondages. Je pense que la même chose serait arrivée à S. Royal. Tout cela traduit le fait que les candidats de l'UMPS ne sont plus en phase avec les Français, ne mènent pas une politique qu'ils attendent.

    L'UMPS est encore assez forte pour imposer ses candidats, via les média et son terrorisme intellectuel (parfois pas qu'intellectuel), vitupérant à qui mieux mieux sur le Front National, et les valeurs qu'il incarne, ainsi les candidats de la droite nationale obtiennent-ils de mauvais score.

    Les idées, les valeurs de la droite nationale sont majoritaires en France. J'en discute régulièrement avec des parents, amis, collègues, mais dès que l'on aborde le vote, j'entends : "Le Front National, ah ça, non". La terreur intellectuelle est passée par là.

    Cela me fait penser à une personne partant en vacances au bord de la mer, en Bretagne, par exemple, avec l'idée de profiter de la plage et de se baigner. Puis, errivé au bord de l'eau, notre vacancier, trouvant l'eau trop froide, remet son projet de baignade au lendemain.

    D'où tout simplement ce sentiment de malaise, cet arrière-goût de déception permanente qu'éprouvent les Français.

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