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Virage à 180 degrés

Jusqu’à dimanche, Christine Lagarde et son secrétaire d’Etat Eric Woerth prenaient la défense de la direction de la Société Générale et rejetaient l’entière responsabilité du trou de 5 milliards d’euros sur le courtier. Mais, lundi, Nicolas Sarkozy a déclaré que le président de la banque, Daniel Bouton, ne pouvait pas s’exonérer de ses responsabilités. Du coup, le revirement est complet et brutal. C’est haro sur Bouton...

Commentaires

  • Christine Lagarde avait oublié de demander au grand timonier du parti Libéral-Socialiste ce qu'il convenait de penser.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Christine_Lagarde

    Les remarques de Nicolas Sarközy au sujet des responsabilités qu'il faut savoir prendre lorsqu'on a un salaire très élevé, sont peut être prophétiques, envers lui même.

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