Communiqué de Jean-Marie Le Pen
Sous la pression de la Commission européenne, l’Assemblée nationale reprendra ses travaux, après les élections, par l’examen d’un projet de loi de lutte contre les discriminations.
On croyait être à la pointe en ce domaine, mais non.
La France est accusée de ne pas avoir correctement transposé en droit français trois directives européennes. La Commission nous reproche notamment de ne pas avoir défini les discriminations directes et indirectes, et de ne pas avoir assez transposé la disposition qui interdit d’enjoindre à quiconque de pratiquer une discrimination !
C’est un nouvel exemple de la dictature ubuesque de Bruxelles, qui par ailleurs n’a rien contre la discrimination, quand elle se prétend « positive ».
C’est un exemple aussi de l’incurie de nos gouvernants qui, par dévotion idéologique, disent amen aux propositions les plus absurdes de la Commission , et sont ensuite contraints de les transposer, ou de tenter de les transposer, en droit français.