O clavis David, et sceptrum domus Israel, qui aperis, et nemo claudit ; claudis, et nemo aperit ; veni, et educ vinctum de domo carceris, sedentem in tenebris et umbra mortis.
Ô clef de David, et sceptre de la maison d’Israël, toi qui ouvres, et personne ne peut fermer ; toi qui fermes, et personne ne peut ouvrir ; viens faire sortir de prison le captif (enchaîné) assis dans les ténèbres et à l’ombre de la mort.
(Cette antienne commence par des formules d’Isaïe et se termine par la première partie du dernier verset du Benedictus, qui fait aussi référence à Isaïe. La traduction officielle de l’épiscopat ne permet plus la référence au Benedictus, en omettant le « assis » humiliant et « l’ombre de la mort », traumatisante, à l’approche de Noël…)
On peut l'écouter ici, comme les autres Grandes Antiennes de l'Avent (merci à Gégé).