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L’Europe de Nicolas Sarkozy avec Donnedieu de Vabres

Communiqué de Bernard Antony , président du Pays Libre

Au mépris du Non du peuple français à la Constitution européenne, Monsieur Sarkozy fait aujourd’hui passer son « traité simplifié » qui en reprend l’essentiel.

A la France va revenir la première présidence pour une période de deux ans et demi.

Et voilà que comme première mesure très révélatrice des « valeurs » qu’entend y défendre Monsieur Sarkozy , il vient de nommer Monsieur Renaud Donnedieu de Vabres ambassadeur culturel de cette présidence.

On se souvient que lorsqu’il était ministre de la Culture dans le gouvernement Villepin, ce dernier encouragea par sa présence le spectacle subventionné « Crying body » présenté d’abord au Théâtre de la Ville par le misérable Jan Fabre. Dans le Figaro du jeudi 25 novembre 2004 (p.22) René Sirvin avait commenté avec les précisions nécessaires cette abomination « blasphématoire, dégradante, écoeurante ». Après les scènes de « masturbation collective », il y eut absorption et jets d’urine. Le ministre au premier rang en fut arrosé sans dégoût alors que, comble de leur « art », les acteurs invectivaient longuement l’assistance, et lui au premier chef, par des « Nique ta mère » et des « va te faire enc… ».

Que croit-on qu’il arriva ? Ce ministre de la Culture , amateur de vidanges, en redemanda puisque le « spectacle » fut en sa présence reconduit au Festival d’Avignon !

On mesure combien il était digne d’être récompensé comme vient de le faire le président de la république dite française.

Il est vrai que « d’égouts et des couleurs » de l’art contemporain on ne doit pas discuter !

Commentaires

  • Rappelons que cette "pièce" fut naturellement subventionnée par l'Etat, c'est là l'oeuvre du socialisme qui a étatisé la culture.

    Je me rappelle les propos d'un professeur de latin, au lycée, qui faisait le parallèle entre la fin de la Rome antique, marqué par une dégénérescence des classes supérieures de la société, qui s'adonnait aux célèbres orgies romaines, et nos vieilles démocraties décadentes. C'était en 1985.

    Ce genre de spectacle, destiné aux bobos-zozos branchés parisiens, vient confirmer ce que nous disait ce professeur, il y a plus de vingt ans.

    Dégénérescence, haine farouche des valeurs morales traditionnelles, refus de servir, bref, la France actuelle présente tous les symptômes d'une société malade.

  • L'analogie avec l'Empire Romain peut aller beaucoup plus loin sur beaucoup de plans...

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