Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Les fanatiques de l’avortement

Trois personnes dont un chirurgien responsable d’une clinique ont été placées en détention provisoire, vendredi, suite aux perquisitions menées dans quatre cliniques de Barcelone « soupçonnées » de pratiquer des avortements illégaux, jusqu’à sept ou mois de grossesse, pour des tarifs allant de 3.000 à 6.000 euros. C’est un reportage de la télévision danoise, diffusé fin 2006, qui avait attiré l’attention sur ces pratiques.

En France, deux lobbies fanatiques, la CADAC (coordination des associations pour le droit à l’avortement) et l’ANCIC (Association nationale des centres d’interruption de grossesse et de contraception) « assurent leur solidarité » aux cliniques de Barcelone qui « prennent en charge les situations des “clandestines“ hors la loi des autres pays », et en profitent pour dénoncer le fait que « la France exclut la notion de difficultés psycho-sociales dans la définition de la santé de la mère » (« difficultés » qui doivent permettre de pratiquer une « interruption médicale de grossesse » jusqu’à la naissance)...

Commentaires

  • "jusqu’à sept ou mois de grossesse"


    manque un mot.

    [oui il manquait huit. C'est rétabli. Merci. YD]

  • La non prise en compte des difficultés psycho-sociales ?
    Mais si une femme estime ne vraiment pas pouvoir élever son enfant, elle peut le confier à l'adoption, ce sera quand même mieux que lui oter la vie !

  • Ce qui est ironique dans l'histoire, c'est leur terminologie euphémistique. Ils disent: «interruption volontaire de grossesse».

    ° Ce n'est pas une interruption. Lorsque j'interromps l'électricité ou une discussion, je peux la reprendre plus tard; alors que l'infanticide prénatal, une fois fait, la vie ne pourra plus jamais reprendre.
    ° Ce n'est pas une "grossesse", mais une vie humaine.

  • Cet euphémisme dont vous parlez, Georges, il n'est pas involontaire. Il faut décomplexer et déculpabiliser la femme qui avorte en lui faisant croire que ce n'est pas un meurtre. Seulement, tôt ou tard, elle finit par comprendre.

Les commentaires sont fermés.