Communiqué de Marine Le Pen
Depuis dix ans, le Front National dénonce la gabegie de la bien mal nommée « politique de la ville », en réalité l’arrosage d’associations militantes de gauche et communautaristes sous la menace, en cas de tarissement de la manne, d’une « explosion des banlieues ».
Les sommes en jeu sont conséquentes : 4 milliards pour l’Etat en 2006 (hors rénovation urbaine), auxquels il faut ajouter les dépenses des régions, des départements, ainsi que des municipalités.
Dans un rapport concernant « les crédits d'intervention de la politique de la ville », la Cour des Comptes confirme les graves critiques que nous formulons, notamment l’opacité de ces mesures, l’enchevêtrement des dispositifs, les dysfonctionnements de l’Etat.
Le rapport ne va cependant pas jusqu’à remettre en cause la légitimité de la politique de la ville, qui n’est finalement qu’une partie de la facture induite par la vague migratoire et la création de zones de non-droit. Encore un effort de lucidité Messieurs les magistrats de la Cour des Comptes !
Commentaires
Marine Le Pen a raison d'insisté sur ce point. Dans l'indifférence quasi générale, des sommes importantes sont consacrées à acheter la tranquilité, toute relative du reste, des banlieues, et à financer une kyrielle d'associations, de gauche naturellement, permettant à une foule d'agitateurs de se défouler.
Je crains cependant que le rapport de la Cour des Comptes ne soit utile qu'aux historiens, et ne soit empilé, avec tant d'autres, tous aussi excellents, dans la salle des archives...
Il n'est pire sourd que celui qui ne veut entendre.
"Marine Le Pen a raison d'insisté "
Marine Le Pen a raison d'insister
Avec mes excuses, décidément, je suis mal réveillé ce matin.