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4.000 immigrés expulsés

4.000 travailleurs immigrés vont être expulsés, à la suite des grèves et des actes de vandalisme qu’ils ont commis, a annoncé un responsable du ministère du Travail, qui a ajouté : « Les ouvriers ne veulent pas travailler et nous n’allons pas les y obliger. »

Cela se passe à Dubai.

Addendum. Il n'y aura pas, finalement, d'expulsion massive:"La police garantit le retour à leur travail des ouvriers qui ont participé à la grève sans s'impliquer dans des actes d'agression, après leur engagement à ne plus agir de cette manière pour défendre leurs revendications. En revanche, les ouvriers qui ne veulent pas reprendre le travail seront expulsés car la demande à l'origine de leur grève est contraire à la loi", a déclaré le chef de la police.

Commentaires

  • Une grève à Dubaï ??

    Et elle n'a pas été réprimée dans le sang pas ces esclavagistes modernes??

    C'est plutôt une bonne nouvelle.

    Sans compter que les autorités confisquent leur passeports à ces pauvres bougrent pour qu'ils n'aient d'autre choix que de continuer à se faire exploiter, leur expulsion en est même étonnante.

  • Décidément, Robert, vous êtes perturbé en ce moment.
    Que se passe t-il avec l'orthographe?
    Reprenez-vous, que diable!

  • Je sais, je m'en suis aperçu après.
    Je me relâche, en effet…

  • Le ministre du travail de Dubaï ferait certainement un excellent ministre chez nous. La fameuse grève du 18 octobre qui a duré une semaine sans qu’aucun ministre ne soulève ses paupières, n’aurait probablement pas duré plus d’une heure. Voilà un immigré qu’on aimerait bien choisir ! Mais ne nous faisons pas d’illusions : cela ne l’intéresse sûrement pas de venir chez nous.

  • Oui, et ressuscitons Mussolini...

  • Non, Robert, faisons venir Margaret Thatcher en France, car je crois qu'elle "en" a plus que le bonimenteur Sarkozy.
    Au fait, bravo, pas de fautes cette fois!

  • Robert,

    Comme pénitence, vous nous conjuguerez le verbe ressusciter à l'imparfait du subjonctif.

    Pour revenir dans le vif du sujet, laissons Mussolini tranquille. A force de l'agiter comme le chiffon rouge, ce dernier est en piteux état. Joseph a parfaitement raison. C'est bien sûr un (ou une) Thatcher dont nous avons besoin.

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