« Jeunes, éduqués et citadins ont voté massivement contre les Kaczynski. »
Les électeurs du PiS sont massivement des vieux, des demeurés et des ploucs.
(On connaît le refrain ; il avait déjà été servi, massivement, entre les deux tours de la présidentielle française de 2002.)
Commentaires
Et la citation sort d'où? Pourquoi y voyez-vous de tels sous-entendu? Votre attitude est haineuse, à quoi cela vous avance-t-il?
Ce n'est pas une attitude haineuse. C'est le reflet de la réalité; évidemment, ils ne le disent pas ouvertement, mais par des sous-entendus.
Je me souviens, quand j'étais étudiant, de la citation de Delors, à propos de Maëstricht : "ceux qui sont contre le traité de Maëstricht ne sont pas dignes de faire de la politique". Qu'en pensez-vous, cher monsieur, de cette citation que j'ai entendue et que d'autres que moi pourraient citer? N'était-elle elle pas dédaigneuse ? Mais il est vrai que M. Delors est un homme "respectable", il fait "consensus", c'est même un "sage". Je m'étonne d'ailleurs qu'il ne figure pas dans quelque commission ou comité du bonimenteur Sarkozy. Ce même misérable d'affirmer que ce traité devait donner de la croissance, faire baisser le chômage.... Vous vous souvenez peut-être? J'espère vous avoir rafraichi la mémoire.
Joseph
La citation de Delors n'a pas de sous-entendu: c'est une attaque directe et franche.
« Jeunes, éduqués et citadins ont voté massivement contre les Kaczynski. »
Ou est le sous-entendu? Cela ressemble à de la paranoïa... Est-ce que vous voyez dans chaque affirmation qui vous déplaît une insinuation, une attaque déguisée. Pourtant cette phrase est parfaitement neutre de sous-entendu.
Elle n'implique absolument pas, en tout cas pas en français, que les
"électeurs du PiS sont massivement des vieux, des demeurés et des ploucs" C'est uniquement Monsieur Daoudal qui le dis. Merci au passage pour tout ceux qui n'ont pas fait d'études et qui sont ici traités de demeurés. Merci aussi de la part des campagnards ici traités de ploucs. J'ai le plaisir de faire partie de cette dernière catégorie. Merci beaucoup.
C'est triste de faire de tels procès d'intention à des gens qu'on ne prend même pas la peine de citer, probablement parce qu'ils sont justement une source fiable et neutre.
Je ne comprends pas que l'on vienne sur un blog d'une minorité persécutée pour insulter celui qui tient le blog et ceux qui le soutiennent. Ce sont des agissements de chiens.
Raph n'a comme argument que "menteurs", "haineux", "méprisants" en utilisant les statagèmes malhonnêtes décrits dans "L'Art d'Avoir Toujours Raison" de Schopenhauer.
Qui vous commandite "Raph" ?
Monsieur Daoudal a tiré un corollaire de l'affirmation incriminée. Rien que de très légitime. Où est le mal ?
Vous êtes un professeur de morale malhonnête, pourquoi venez-vous, ici, faire la morale schopenhauerienne ?
Assez de mauvaise foi, Raph !
Rentrez en vous-même et devenez sincère et honnête. Nous n'avons chacun qu'une vie Raph, et elle est courte, songez à vos fins dernières.
Moi je suis d'accord avec le sous-entendu ou plutôt avec son interprétation...
Il doit refléter de manière assez fidèle la réalité...
waf waf....
"une minorité persécutée", "des agissements de chiens" (Denis Merlin). Un peu de mesure, svp.
Sur le fond, je suis d'accord qu'il peut y avoir un certain mépris dans l'affirmation sur les électeurs polonais. Mais la réaluité sociologique est là : ce sont les jeunes urbains diplomés qui ont voté en grande majorité contre les frères Kaczynski.
oui les bobojugends ont bien vote...pour un avenir uncertain pour eux-meme et pour un credit negatif sur l'avenir de leur future progeniture.
bonne education
Curieux que ce "François" qui ressemble étonnament à "Raph" vienne demander de la "modération", alors que son alter ego, traite les gens de "menteurs", les accuse d'avoir une "attitude haineuse", mais lui serait modéré et poli.
Quant à "minorité persécutée", je ne vois pas où est le mensonge ou l'exagération.
Mais fidèles à leurs maîtres, "Raph" et "François", continuent d'invectiver en se présentant comme "modérés". Il sont donc de véritables chiens de meute.
De mieux en mieux...Les insultes maintenant...
On nage en pleine paranoïa en prime...
Et c'est vous qui parlez de fidélité au maître alors que vous-même agissez en toutou toujours près à lécher la main du sien?
A l'intention, non pas de "Raph" et de "Robert", à qui mon blog sert manifestement de thérapie (tant mieux pour eux si ça les soulage), mais de ceux qui n'ont pas compris ce que je voulais dire, voici un extrait de mon livre "Le tour infernal 21 avril - 5 mai 2002":
Pendant les deux semaines de l’entre-deux tours, les médias ont cherché, ou fait semblant de chercher, qui étaient ces étranges électeurs qui avaient commis cette action inimaginable de voter Le Pen. La chose était tellement inconcevable que l’“enquête” se poursuivra, notamment dans les hebdomadaires, les deux semaines après le second tour.
Les reportages étant assez répétitifs, on n’en donnera qu’un aperçu, à travers les trois catégories principales dans lesquelles on peut les classer : premièrement, les électeurs de Le Pen sont des demeurés, des paumés, des sous-hommes, donc pas vraiment des citoyens ; deuxièmement, il faut tout de même se demander comment il se fait que dans des endroits où il n’y a semble-t-il ni immigration ni insécurité, des Français apparemment normaux ont voté Le Pen ; troisièmement, il faut aussi se demander pourquoi le vote Le Pen a progressé dans des secteurs où le phénomène paraît encore plus étonnant (comme chez les paysans ou les Arabes de banlieue). Une autre catégorie est celle des reportages sur la ville d’Orange, qu’on verra dans tous les journaux, mais sur lesquels il est inutile de s’étendre, car ils ne font que reprendre ce qui a déjà été rabaché : les Orangeois sont satisfaits de leur municipalité FN (difficile de prétendre le contraire quand elle a été réélue avec 60 % des voix au premier tour), mais la peur rôde malgré tout, mais les associations sont brimées, etc.
L’institut de sondage CSA a réalisé le 21 avril, pour l’hebdomadaire La Vie, un sondage sortie des urnes sur l’électorat de Jean-Marie Le Pen. Il en ressort que celui-ci réalise ses meilleures performances chez les chômeurs, les ouvriers et les retraités. L’institut précise : un électeur sur cinq est sans diplôme et moins d’un sur dix a un niveau bac + 2. Bref, la grande majorité des électeurs de Le Pen sont des jeunes incapables de faire des études, des adultes incapables de trouver un travail, et des vieux déconnectés du réel. Curieusement, la publication du sondage est accompagnée d’un entretien avec Nonna Meyer, directrice de recherche au CNRS, qui finit par dire le contraire de ce qu’affirme le sondage : « Ce qui me frappe, c’est que le vote Le Pen progresse chez les personnes âgées et dans les zones rurales, ce qui confirme que la thématique de l’insécurité a pleinement joué. Mais aussi, et c’est du jamais vu, chez les professions intermédiaires, les classes moyennes qui ont un certain niveau de salaires et de diplômes. »
Le Monde publie dans son numéro daté du 30 avril un reportage qui est un véritable chef-d’œuvre de mise en scène délirante du sondage CSA. Il est réalisé dans l’Yonne, « pays de légendes et de jeteurs de sorts », un « département schizophrène » où « l’autochtone a l’imaginaire fécond et la révolte prompte ». Et voici le portrait d’Adam (sic, on remonte au premier âge de l’humanité) : « Adam a 51 ans, il a commencé à travailler à 17 ans, il n’a jamais voyagé hors de France, il est propriétaire de sa maison dans un petit bourg local (sic). N’ayant jamais milité pour le FN, il appartient sans le savoir à cette catégorie de Français que l’institut Ipsos appelait la semaine dernière, dans Le Point, les “Maginots”. Ils représentent 22 % de la population française. Ce sont “des ruraux, négatifs, pessimistes, téléphages, peu diplômés, sédentaires, qui broient du noir en permanence”. Les bataillons habituels de Le Pen, en somme. »
A noter aussi, cette perle relevée sous la plume de l’éditorialiste du Courrier picard : il se lamente de voir que des hommes et des femmes « ont donc donné la priorité à une idéologie sommaire sur une démocratie évoluée ». L’électeur de Le Pen doit être quelque chose comme un homme des cavernes...
Après le second tour, Le Monde poursuit ses investigations. Il va ainsi trouver un ethnologue (sic), Frédéric Saumade, qui explique le vote Le Pen à Saint-Gilles (dans le Gard), par les bouvines, un sport de taureaux. Les bouvines sont « l’occasion pour ce parti d’exalter la pureté de la race ». Sic.
Après le second tour, Le Monde donne la parole aux “spécialistes”. Et revoici Nonna Meyer, qui parle du vote Le Pen chez les ouvriers du secteur tertiaire (manutention), et paraît avoir oublié ce qu’elle disait à La Vie deux semaines avant : « C’est dans ce monde déstructuré, chez les jeunes sans diplôme et sans avenir, que se recrute l’électorat de Le Pen. » Cette phrase mérite assurément d’être mise en exergue au milieu de l’article. On se heurte toutefois toujours à l’énigme du vote Le Pen qui ne correspond pas à la carte de l’insécurité et du chômage. « C'est son vocabulaire qui magnétise une partie des mineurs, des agriculteurs ou des retraités », affirme Stéphane Wahnich, qui trouve surtout là l’occasion de faire de la pub pour le livre qu’il a co-écrit Le Pen, les mots, avec la grande spécialiste Maryse Souchard (qui a expliqué entre les deux tours pourquoi Le Pen citait Hitler, alors qu'il s'agissait d'un faux...). Pascal Perrineau, quant à lui, reste bloqué sur le vote protestataire, et explique : « Au Nord et à l’Est, le FN profite des angoisses liées à la mondialisation » : “Restructurations industrielles, méfiance à l’égard de la construction européenne et désespérance sociale expliquent la progression du vote en faveur de Jean-Marie Le Pen dans ces régions. Un sentiment d’abandon renforcé par une politique d’aménagement du territoire jugée discriminatoire. »
Pascal Perrineau et omniprésent, dans les journaux comme à la radio et à la télévision. Il est le super-expert dont on se dispute les conclusions. Alors il ne cesse de surenchérir sur ses propres propos, et il se construit une fantasmagorie odieuse, honteuse, insupportable. Dans L’Express du 16 mai, il déclare : « La jeunesse qui vote Le Pen est essentiellement constituée de jeunes hommes au très faible niveau d’études, particulièrement touchés par le chômage. Ils ne comprennent pas les changements de la société, l’évolution des rapports hommes-femmes. Exclus du système, ils ressentent de la frustration. Faute de statut social, ils se replient sur leur identité sexuelle masculine et leur identité nationale de petit Français blanc. »
Le Figaro Magazine donne lui aussi la parole à Pascal Perrineau. Une page entière, de Radiographie du Front national, où il insiste lourdement sur le malaise de l’identité masculine de gens qui se situent en bas de l’échelle sociale et culturelle, touchés par le chômage, qui n’ont donc pas d’identité par le travail, et à qui il ne reste à défendre que leur identité masculine et nationale d’hommes blancs... Il répète que Le Pen trouve « des adeptes dans toutes les classes d’âge, y compris dans la jeunesse, même si c’est une jeunesse dont on ne parle pas, qui a un niveau d’études très bas et qui peine à s’intégrer dans le monde du travail ». Et il ajoute : « Très largement, la corrélation de l’électorat de Le Pen avec le niveau de diplômes prouve que plus le niveau d’études baisse, plus le vote Le Pen monte, ce qui est logique lorsqu’on sait que le niveau de diplômes est un outil pour comprendre le monde et son évolution. »
La télévision n’aura pas de peine à trouver en effet de jeunes électeurs de Le Pen touchés par le chômage, sans diplômes, qui se sentent exclus, etc. Si certains sont de fait quelque peu “paumés”, jamais en revanche on ne verra d’exemples de cette invraisemblable caricature, d’un grotesque racisme anti-français, de “petits blancs” repliés sur leur identité sexuelle masculine... (Cela fait plutôt penser à ce reportage hallucinant que l’on vit à la télévision, il y a quelques années, et qui fit scandale, tout de même, sur les “petits blancs” de La Réunion, où pour bien montrer qu’il s’agissait de “dégénérés”, leurs propos étaient sous-titrés, alors qu’ils étaient parfaitement compréhensibles.)
Dans un tout autre registre, les médias se demandent pourquoi le vote Le Pen progresse dans des endroits où apparemment tout est calme, et dans des populations qui ne correspondent manifestement pas au schéma des crétins indécrottables à la Perrineau.
Cela permettra d’apercevoir quelques lueurs de vérité, même à la télévision, même dans “Envoyé spécial”, avec son enquête dans l’Ain, où 90 % des communes ont placé Le Pen en tête. On voit là des gens normaux, qui expliquent que la situation n’est pas aussi calme qu'elle n'en a l’air, que tout se dégrade dans la société, et certains, enfin, osent dire devant la caméra qu’ils ont voté Le Pen. Dans un autre reportage, on verra de charmantes communes du Perche, “sans histoire”, où Le Pen est également arrivé en tête. Il s’agit de familles plutôt aisées qui ont quitté la banlieue parisienne pour trouver le calme, et qui voient que l’insécurité qu’ils ont fuie est en train de les rattraper à la campagne...
L’Humanité contribue à sa manière, c’est-à-dire à la manière communiste, à cette investigation, en publiant dès le 24 avril un reportage dans un village des Alpes-Maritimes « où il fait bon vivre », et qui a mis Le Pen en tête. Pourquoi ? Parce que les habitants ont un sentiment d’abandon, et surtout parce que l’insécurité, inexistante dans le village, est montée en épingle par les journaux locaux , la télévision, et la droite locale...
Mais Le Monde fait de même. En se penchant sur Les lepénistes introuvables, dans ces « villages de la douce France où Le Pen est arrivé en tête » alors qu’on n’y trouve que peu d’immigrés et pas d’insécurité, il conclut également que c’est la faute à la télé... (Il s’agit là d’un des grands thèmes de toute la campagne de gauche de l’entre-deux tours : en évoquant sans cesse les problèmes d’insécurité, la télévision a fait la campagne de Le Pen...)
Libération publie une chronique régulière : Mon village à l’heure Le Pen. Le 3 mai, le village est Vitrey-sur-Mance, en Haute-Saône, où Le Pen n’a obtenu que deux voix. Un habitant sait de qui il s’agit : « Les nouveaux électeurs de Le Pen, c’est un gars, avec son épouse, dont j’aurais jamais cru qu’il ferait ça. Il achète bio, il a une pratique culturelle de gauche, on s’entraide pour les gosses. Mais il a voté contre les 35 heures, ça le bloque financièrement. » Libération ne fait pas de commentaire. Il y a pourtant là d’utiles indications (mais pas dans le sens de ce journal, il est vrai). Les électeurs de Le Pen ne sont pas des monstres ni des abrutis. Ils ont l’air normaux, s’étonne ce brave villageois. Ils ont même l’air d’être “de gauche”. Parce que, dans la propagande de la pensée unique, “acheter bio” c’est être Vert, donc de gauche, et avoir le sens des solidarités sociales c’est aussi être de gauche. Alors que l’électeur de Le Pen est forcément un égoïste replié sur lui-même, insensible à son environnement naturel et humain, et même un destructeur du lien social et de la nature. Tel est le degré du mensonge officiel. Pourtant le villageois souligne lui-même que l’homme n’est pas de gauche : il a voté Le Pen “contre les 35 heures”, qui entravent la bonne marche de son entreprise. Et ainsi le villageois, sans le vouloir, donne une explication du vote Le Pen que les experts n’ont pas vue, car elle n’entre pas dans leurs catégories préétablies (insécurité, immigration, inadaptation).
L’analyse des résultats du premier tour fait apparaître une progression du vote Le Pen dans des catégories où on l’attendait encore moins, notamment chez les paysans et chez les immigrés.
Le Monde publie ainsi le 30 avril un intéressant reportage chez des agriculteurs de la région de Marmande, réunis à la ferme de l’un d’eux. « Il y en a beaucoup, chez les agriculteurs, qui votent Le Pen », confirme un des paysans, en se gardant bien de dire, comme ses collègues, si ce fut son cas. « Le vote Le Pen, dans les petites communes rurales, comme ici, c’est pas politique. C’est le mécontentement, le ras le bol », dit un autre. Mais au fil de la discussion les raisons apparaissent au contraire proprement politiques. Ils dénoncent le nombre incalculable de papiers à remplir, la chasse humiliante aux subventions : « On est devenu des mendiants de l’Etat. » Ils pointent le vrai dysfonctionnement social : « On est dans une situation catastrophique, pendant que l’Etat en paie d’autres à ne rien faire. » Et ils dénoncent une société qui bafoue leurs valeurs : le travail, l’honnêteté, le courage, la famille, la volonté, l’honneur de « travailler le patrimoine »... Oui, ils ont voté Le Pen pour ces raisons-là. Et ce sont de nobles, de profondes raisons.
On ne voit pas le mal partout, nous avons donc besoin d'une thérapie...de plus en plus drôle et de moins en moins crédible...
et bien Denis, qui fait waf waf ici? Votre sentiment de persécution, dans lequel vous semblez vous complaire, fait de vous la personne la plus facile à manipuler et entraîner dans la haine aveugle. Il n'y a qu'à voir: vous me balancer une tonne de fumier à la figure, sans discuter le moins du monde du mérite des mes si terribles allégations. Pourtant vous n'étiez pas visé.
"négatifs, pessimistes, qui broient du noir en permanence”
Cela semble correspondre assez bien à la ligne éditoriale de ce blog et du FN en général.
Cependant, je suis entièrement d'accord avec Monsieur Daoudal sur le fait qu'il est trop facile de caricaturer l'électorat de Le Pen et que ce n'est pas en ignorant les craintes des français qu'on fera avancer quoi que ce soit.
Les deux 'décrédibilisateurs' ici sur cette page sont bien ridicules.
L'Omnivore,
Pourriez-vous développer?
Ne trouvez-vous pas un facile d'affirmer quelque chose d'aussi simpliste du haut de votre petite certitude de déternir la Vérité sans la moindre argumentation?
Ayez le courage de penser par vous-même au lieu d'accuser les autres d'être ridicule et de vous contenter d'applaudir tout ce que vous lisez ici.
C'est vous qui êtes ridicule et pitoyable en agissante de la sorte.
Une précision pour Denis Merlin : je ne suis pas Raph, je ne le connais pas, je suis catho (pratiquant) et de droite patriote.