Le préfet de l’Essonne fait savoir que l’examen des dossiers des clandestins qui avaient occupé pendant plus de cinq mois l’église Saint-Paul de Massy a débuté.
En clair, ils vont être récompensés de leur ténacité : ils vont être régularisés. « Au cas par cas », bien sûr. Comme les squatters de Cachan.
« Les sans-papiers ne peuvent pas avoir de papiers car ils n’ont pas de contrat de travail, et ils ne peuvent pas obtenir de contrat de travail car ils n’ont pas de papiers. Il faut sortir de ce cercle vicieux », a dit le préfet. Et pour en sortir, il suffit de donner des papiers à ceux qui présenteront des « promesses d’embauche »...
Fastoche ! Comment n’y a-t-on pas pensé plus tôt ?