Le prix Nobel de médecine a été attribué à trois chercheurs qui travaillent sur des « souris transgéniques ». Jeanne Smits souligne que ce Nobel, « avec toute sa valeur “normative“, son caractère incitatif, son prestige, justifie et encourage toutes les transgressions du devoir de respect de la vie humaine en récompensant pour la première fois des travaux sur les cellules souches embryonnaires, où l’industrie de la bio-médecine veut voir la réponse à d’innombrables maladies humaines ».
Commentaires
Je ne comprend pas, si justement ils font leurs recherches sur des mammifères inférieurs (pas même des primates), où est le problème?
Peut-être même qu'une connaissance parfaite des cellules souches permettrait d'en crééer à partir des cellules adultes différenciées...