La « cote de confiance » de Nicolas Sarkozy baisse de 7 points (à 53%) dans le baromètre TNS-Sofrès pour le Figaro Magazine. Le taux de ceux qui ne lui font pas confiance passe de 32 à 40%.
Le 1er octobre on apprenait qu’elle baissait de 6 points (à 55%) dans le baromètre CSA pour Le Parisien, le taux de ceux qui ne lui font pas confiance passant de 33 à 37%.
Commentaires
Je ne crois pas que les Français aient compris.
J'espère que la politique xénolâtre de N. S. va se poursuivre.
Nous sommes pris dans une spirale d'autodestruction orchestrée par nos dirigeants (qui n'ont jamais été des élites).
Les Français ouvriront les yeux quand le sang de leurs enfants aura suffisamment coulé et quand leur portefeuille aura été vidé par les Chinois.
Le cocufiage des électeurs de "droite" n'est pas nouveau : ce sont des cocus heureux.
Ces sondages ne prouvent rien vu qu'ils ne donnent pas la raison de la baisse et puis les Français pardonnent tout, oublient tout, pour quelques promesses d'une campagne.
C'est la déchéance de la raie publique qui est la meilleure garantie de la survie de la France.
Je connais l'argument qui consiste à dire que ce sont les faibles qui souhaitent le chaos : ils ne veulent pas se battre.
Cet argument est faux : pourquoi se battre quand il s'agit de perdre son temps, quand il s'agit d'un combat d'arrière garde qui vise à réformer le système actuel. Car c'est de cela dont la majorité des nationalistes se prévalent quand on creuse un peu en discutant (des grandes gueules qui se couchent devant la maçonnerie et/ou refusent de la désigner comme la cause de nos problèmes). Il ne s'agit plus de rétablir, après 3 milliards de tentatives de rétablissement, la sécurité, la prospérité,...
Il s'agit d'établir.
Une chose nouvelle.
Le système actuel est pourri de l'intérieur par la franc-maçonnerie et le marxisme. Il faut non pas le détruire (il le fait très bien tout seul) mais le laisser se détruire (en protégeant notre sécurité, notre prospérité), ne plus le servir et préparer le VRAI changement : la monarchie catholique.
Dieu attend de nous autre chose que de la pitié pour l'oeuvre du diable.
Hélas, cher Aslan, je crains fort que vous ayez raison !
Même si les Français commencent à comprendre , c'est fini.
Le but de la République était de ruiner l'ordre catholique en renversant le Roi très chrétien puis en pourrrissant l' Eglise en l' infestant de prélats maçons.
But insensé mais parfaitement atteint!
Maintenant c'est l' heure de l' ordre Maçonnique mondial, avec Jérusalem pour centre du monde et allégeance obligatoire aux anti-valeurs de l' ONU.
Et interdiction de parler de certains sans avoir l' encensoir à la main : on a rétabli une nouvelle aristocratie à laquelle tout le monde doit révérence.
Ayant plus ou moins partagé votre opinion je pense aujourd'hui qu'elle est fausse.
Les franc-maçons sont avant tout des protestants anglo-saxons.
L'Eglise, d'autre part, est toujours là, elle n'est nullement à la botte des franc-maçons. L'Eglise est sainte et propose toujours un enseignement saint, inspiré par l'Esprit Saint.
Ayant plus ou moins partagé votre opinion je pense aujourd'hui qu'elle est fausse.
Les franc-maçons sont avant tout des protestants anglo-saxons.
L'Eglise, d'autre part, est toujours là, elle n'est nullement à la botte des franc-maçons. L'Eglise est sainte et propose toujours un enseignement saint, inspiré par l'Esprit Saint.
à Denis MERLIN
je réponds sur la Maçonnerie:
rien que le nom de "Maçonnerie" est une impiété, car elle fait référence de façon univoque à la reconstruction de Temple de Jérusalem.
Or ce Temple est détruit à jamais par ordre divin.
Quant à l' Eglise: elle a failli disparaître sous la masse dominante d' évêques reclyqués en loges.
Sans Mgr LEFEBVRE- agisant presque seul - , la barque aurait sombré.
Actuellement , le catholicisme est menacé de disparition rapide sur plusieurs continents.
Et les maçons font ce qu'il faut pour éliminer toute trace de christianisme dans les législations et les moeurs.
Pour répondre pour la forme à Denis Merlin (je doute que le message soit lu),
1. Les maçons ne sont pas avant tout des protestants : cette analyse, en ce qui concerne la France, était valable il y a 200 ans et pendant le XIXème siècle. La maçonnerie française (GO, filliales et alliées) est composée majoritairement de Français de culture, d'origine catholique. Certes des protestants et des juifs y ont une place disproportionnée au regard de leur poids dans la société.
2. Les idées en vogue actuellement sont maçonniques ou marxistes.
3. L'"Eglise de France" est (sauf une toute petite minoritée) imprégnée de ces idées. La situation n'est pas meilleure dans de nombreux autres pays d'Europe.
"Enfant", "produit" de l'église conciliaire, je suis au regret d'affirmer que l'église conciliaire n'est pas sainte, elle n'est pas tout le temps inspirée par l'Esprit Saint. Pourquoi ?
Parce qu'elle ne remet pas en cause le corpus philosophique issu de 1789.
Tout au plus, elle conteste à la marge l'héritage de mai 68 : à la marge parce qu'elle n'en condamne que les excès.
4. Ceux qui veulent que les choses changent en France, doivent savoir que dans tout combat on doit aller DROIT AU BUT. Qu'il ne faut pas s'attarder sur des questions périphériques.
Oui ou non les politiques menées en France depuis 100 ans (au moins) sont d'inspiration maçonnique ou marxiste ?
Si oui, pourquoi les maçons et les marxistes ne seraient-ils pas responsables de l'oeuvre de mort, de ruine qu'ils ont mené en France ?
Chacun est responsable de ses actes.
Nul ne peut gouverner innocemment.
5. Merci à N. S. pour ses idées et politiques débiles : du chaos jaillira la lumière.
@ Aslan,
Bien sûr que j'ai lu. Je parle des idées, pas de la sociologie ou des origines. Ainsi je suis persuadé que les lefebvristes sont des anarchistes au moins ont des idées anarchistes, c'est paradoxal mais je relie cela avec Maurras et l'unité par la doctrine.
En ce qui concerne le reste que la politique ait été seulement marxiste, ça se discute. Il y a eu des libéraux, des démocrates chrétiens, des socialistes non marxistes (etc.) et surtout des résistances à la politique marxiste. Ils n'ont pas fait tout ce qu'ils ont voulu. Cette question est historique.
Droit au but : c'est le bien commun (vérité, justice, amour) qui informe les droits de l'homme.
Pour le chrétien il n'y a pas deux camps il y a des hommes. Ca ne fait pas plaisir aux partisans des exercices de saint Ignace à la mode du P. Vallet, mais ces histoires des "deux camps" conduit facilement à blesser la charité.
Le communiste, le franc-maçon, le marxiste celui d'une autre confession est mon frère, il peut m'aider, il peut avoir des idées plus pertinentes que les miennes et il est certainement plus vertueux et meilleur que moi.
"Le communiste, le franc-maçon, le marxiste celui d'une autre confession est mon frère."
Je ne remet pas ce fait en cause.
Je critique des idéologies et leurs propagandistes.
"il peut m'aider, il peut avoir des idées plus pertinentes que les miennes "
J'en doute en ce qui concerne les francs-maçons et les marxistes.
"En ce qui concerne le reste que la politique ait été seulement marxiste, ça se discute. Il y a eu des libéraux, des démocrates chrétiens, des socialistes non marxistes (etc.) et surtout des résistances à la politique marxiste. Ils n'ont pas fait tout ce qu'ils ont voulu. Cette question est historique."
Ce que j'ai dit c'est que les politiques menées ont été soit d'inspiration maçonnique soit d'inspiration marxiste, qu'en France la Démocratie n'existe pas puisque l'on est obligé d'avoir l'une de ces 2 politiques voire les deux à la fois (sous Mittrand ou Jospin). Il s'agit d'une dictature.
Ainsi, oui il y a eu des socialistes anti-marxistes...
...proches de la Grande-Bretagne et francs-maçons (dans les années 50 et 60).
Et au cours des 30 dernières années le PS a été très proche du PCF : on dit ainsi qu'à la différence du SPD allemand, il n'a pas fait son Bad Godesberg.
Quant aux libéraux et "chrétiens"-démocrates, dont nombres ont été et sont francs-maçons, ils ont mené une politique conforme aux principes maçonniques.
Ont-ils et remettent-ils en cause la loi de 1905 (véritable vache sacrée) ?
A quand une loi de séparation de la Franc-Maçonnerie de l'Etat ?
Vous n'en parlez pas mais je réponds d'avance à une quelconque mention de votre part de cette famille politique : les gaullistes. Il y en a eu dans ses gouvernements et de Gaulle a même reconnu qu'on ne pouvait pas faire de gouvernement sans eux.
Libre à vous de vous bercer d'illusions ou pire (en étant franc-maçon) de faire l'hypocrite.
Il n'est plus possible actuellement en France de mener une politique conforme aux saintes écritures et de défense des intérêts des Français de souche. Pas seulement parce que nous n'avons pas la majorité : quand bien même ce serait le cas toutes les associations, officines, etc mobiliseraient tous leurs ressorts en matière de calomnie, de subversion, d'agitations de tous ordres pour nous chasser du pouvoir.
Il s'agit, comme vous l'avez dit, d'histoire et cela s'est déjà produit.
Les maçons hauts gradés et les marxistes ne sont pas des enfants de coeur.
Là encore vous pouvez le nier, faire dévier la discussion. Reste la Vérité.
Du chaos jaillira la lumière.
Vous n'en parlez pas mais je réponds d'avance à une quelconque mention de votre part de cette famille politique : les gaullistes. Il y en a eu dans ses gouvernements et de Gaulle a même reconnu qu'on ne pouvait pas faire de gouvernement sans eux.
Je parle ici des maçons.
@ aslan
Je crains que vous ne me cherchiez une querelle d'allemand.
Je ne partage pas votre pessimisme : nous pouvons et nous devons participer à la vie sociale (sachant que la diffamation et les francs-maçons nous mettrons des bâtons dans les roues) autant qu'il est en nous.
Nous devons parler bien commun, c'est-à-dire vérité, justice, amour qui informent les droits de l'homme et l'amour de la patrie.
Comme le conseillait saint Maximilien Kolbe (un anti-maçon acharné, assassiné par les nationaux-socialistes à Ausschwitz) "sois un homme, fais ton devoir sans souci de qui te regarde".
Notre devoir, c'est de lutter pour le bien commun de l'humanité entière (Gaudium et Spes) dans l'amour de notre patrie (ibidem) ce bien commun étant vérité et justice.
Cela dit pax et bonum (paix et bonheur), cela fait aussi partie du bien commun.