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La justice italienne et l’islam

En 2003, un couple de Marocains vivant à Bologne avait été condamné pour séquestration et mauvais traitements : ils avaient attaché leur fille à une chaise et l’avaient violemment battue parce qu'elle était sortie avec un non-musulman. La Cour de cassation a cassé le jugement et innocenté les parents. Elle a estimé que les parents avaient fait subir ces sévices à la jeune fille « pour son bien » et qu’ils souhaitaient, en toute bonne foi, la punir « pour son style de vie non conforme à leur culture ».

Parmi les réactions, on notera celle-ci : « C'est une honte. Au nom du multiculturalisme et du respect des traditions, les juges appliquent deux types de règles, l'une pour les Italiens, l'autre pour les immigrés. Un père catholique qui se serait comporté de la sorte aurait été durement condamné. On constate une tolérance excessive envers certains comportements, à droite et encore plus à gauche, très souvent c'est le politically correct qui prévaut. Il faut faire respecter la loi italienne. »

La personne qui parle ainsi est Souad Sbai, présidente de l'Association des femmes marocaines en Italie.

Commentaires

  • Si c'est avéré, c'est une honte. Un viol manifeste de l'égalité de tous devant la loi et les droits de l'homme (de tout être humain) à l'intégrité physique et psychologique.

    L'intégrité physique, le droit à des traitements décents ne comporte pas d'Untermenschen à ne pas protéger sous prétexte de la croyance de leurs tortionnaires. Ce jugement raciste est une abomination !

    Si c'est avéré, les Italiens n'ont pas de magistrats meilleurs que les nôtres. Violeurs de droits fondamentaux, crypto-racistes ces tristes individus n'ont aucun droit à leur traitement. Et s'ils sont menacés, ce n'est pas une excuses, ils peuvent démissionner.

  • Oui, cher Merlin, il en va de la justice en Italie comme en France. Mais cette situation est générale. Depuis les années 60, les mondialistes s’appuyant sur les gauchistes se sont emparés des rouages de tous les états européens dits « libres » : d’abord les banques, puis la pub, les médiats et l’enseignement où très souvent ils se sont imposés par la violence grâce à la complicité des syndicats et la passivité des politiques pour avoir la paix. Ils ont ainsi pu infiltrer certaines grandes administration comme la justice. Les peuples se sont laissés abusés et tétanisés par la terreur qu’ils font régner : la xénophobie, le racisme, l’antisémitisme…Inutile de faire un dessin !

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