Un hôpital public de Harlow, en Angleterre, a accepté de donner 27.500 livres à une femme pour avoir avorté son bébé contre sa volonté et avoir ignoré ses tentatives de retirer son consentement.
Teresa Cooper, 40 ans, mère de trois enfants, venait d’être contaminée par une bactérie E. Coli et avait peur que cela entraîne des dommages sur son enfant. N’obtenant pas de réponses claires, elle signa le formulaire pour se faire avorter. Mais dans les deux jours qui la séparaient de cet acte, elle vit une vidéo pro-vie qui lui fit prendre conscience de la gravité de ce qu’elle allait faire.
Le jour de l’avortement, elle posa de nouvelles questions, mais on ne lui répondit pas, et elle était en pleurs quand on la conduisit dans la salle d’opération.
L’hôpital a reconnu que l’équipe n’avait pas permis à Teresa Cooper d’obtenir des conseils appropriés, et avait procédé à l’avortement sans s’assurer de son consentement en dépit de son évident état de détresse.
« C’était comme si elle était sur un tapis roulant qu’il est impossible d’arrêter », a commenté son avocat.