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Vers une intensive propagande homo à l’école

La « Journée internationale contre l’homophobie », c’est le 17 mai. Cette année, c’est la troisième du genre, et c’est... le jour de l’Ascension. A cette occasion, les lobbies homosexuels, les syndicats FSU, CGT et CFDT de l’Education nationale, l’UNEF et l’UNL, en tout 19 organisations, signent une lettre ouverte pour demander que l’école combatte « avec force » et de façon spécifique les « discriminations » envers l’homosexualité. Les signataires demandent notamment que soient mis à la disposition des élèves des livres de littérature jeunesse traitant de l’homosexualité et de la transsexualité « sans les préjugés habituels », et que les associations lesbiennes, gays, bi et trans soient agréées « associations complémentaires de l’enseignement public » afin de pouvoir intervenir dans les classes...

Rappelons que Nicolas Sarkozy a déclaré dans le magazine homo Têtu du mois dernier : « L'amour hétérosexuel n'est pas supérieur à l'amour homosexuel. Toute la différence entre l'amour et le désir, c'est que l'amour a besoin d'une reconnaissance sociale. Car l'amour est si fort, qu'il soit hétérosexuel ou homosexuel, qu'on a besoin de le partager, bien sûr avec son partenaire, mais aussi avec ceux qui nous entourent. L'amour homosexuel doit être reconnu. » Donc enseigné à l’école.

Commentaires

  • La réalité c'est que des milliers d'ados se découvrent gays ou lesbiennes chaque année (ils le savent bien avant d'avoir eu une relation sexuelle) et se retrouvent bien seuls face à cela : personne à qui en parler, et les seuls modèles d'homos qu'ils ont sont les caricatures qu'on a a la télé. Par contre ils ont le droit tous les jours à des "c'est un truc de tapette", "on n'est pas des pédés", "on les a bien enculé" (désolé d'utiliser ces mots mais ce sont bien ceux qu'on entend tous les jours).
    Quand ce n'est pas directement sur eux que s'abattent les moqueries lorsqu'ils osent parler ou laissent transparaitre inconsciemment leur attirance. Vous ne pouvez pas imaginer l'effet déstabilisant que ça a sur l'image de soi.
    D'après certaines études, entre 25% et 50% des suicides sont liés à une crise de l'identité sexuelle.
    Imaginez qu'à 15 ans vous vous rendiez compte que vous êtes amoureux d'une personne du même sexe ? Comment auriez vous réagi ? C'est exactement en ces termes que bon nombre de jeunes se posent la question.
    Il est donc urgent de parler de cela à l'école. Ne serait-ce qu'une intervention d'une heure sur toute la scolarité. Appelez ça de la propagande si vous voulez.

    [Il n'est pas rare d'ête "amoureux" de personnes des deux sexes au moment de la puberté. C'est précisément là qu'il est criminel de faire de la propagande homosexuelle, pour déstabiliser davantage encore l'adolescent au lieu de le laisser évoluer tranquillement vers une sexualité normale. Y.D.]

  • Il n'y a pas d'identité sexuelle, il n'y a pas d'homosexuel ou d'hétérosexuel, cela n'est pas écrit dans les chromosomes.

    En revanche, il y a des mentalités, mais les mentalités cela se change. Il est donc inadmissible de répandre des mentalités qui aboutissent aux souffrances décrites par notre ami Fade out.

    Il serait urgent de faire savoir que l'on peut vivre sans sexe. Les religieuses en sont un témoignage.

    L'enseignement de la chasteté à l'école est donc important. Or on y enseigne l'inverse et l'on voit le résultat avec les innombrables crimes sexuels.

    David et Jonathan étaient des saints, ils avaient l'un pour l'autre une amitié très pure.

  • Sans compte, cher Fade Out, que les chiffres que vous citez restent à démontrer! Quant à se "découvrir" gays ou lesbiennes, j'en doute fortement. Voilà bien longtemps que l'on sait qu'il s'agit d'un stade du développement de l'affectivité lié à son rapport à l'Autre (et particulièrement à l'autre sexe). Au lieu d'enseigner la sexualité à l'école de manière hygiéniste et mécanique, pourquoi justement ne pas commencer à parler d'affectivité? Quant à parler de l'homosexualité, pourquoi pas, si il s'agit effectivement d'appeler au respect des personnes et de rappeler le caractère normalement transitoire de cette phase. Enfin, il y a loin de l'attirance à l'acte.. Voila trois raisons de refuser ce qui est effectivement de la propagande, ne vous en déplaise, ne serait-ce que parce qu'on ne lutte pas contre la "discrimination" par la confusion des genres (désolé pour le jeu de mots). Au passage, à force de parler négativement de la discrimination, on finit par produire des élèves incapables effectivement de discriminer intellectuellement (dans la lecture d'un document ou d'un texte) puisque croyant que tout se vaut!
    respectueusement
    ST

  • Un jour contre l'homophobie je jour même de l'Ascension...il fallait oser. Heureusemet, c'est encore un jour férié et l'impact dans les écoles sera nul puisqu'elles sont...Dieu merci fermées ce jour là!
    Ces lobbies homo sont une plaie pour la société. Vivement que ça change et que les Français enrayent enfin la descente aux enfers de notre malheureux pays...

  • Tout d'abord, je vous remercie sincèrement de me laisser la parole, même si nous ne sommes pas d'accord.

    Aucune étude scientifique n'a conclu à l'origine purement génétique ou purement comportementale de l'homosexualité.
    D'autre part, même dans la théorie psychanalytique que vous citez, ST (rappelons que cette théorie n'est pas scientifique), l'altérité ne se réduit pas au sexe. Mais là n'est pas l'important.

    Ce que je peux vous dire - et ce m'ont dit des dizaines de personnes de tous âges qui ont vécu la même expérience - c'est qu'on ne choisit pas de tomber amoureux de quelqu'un du même sexe. Ce qu'on choisit, c'est d'accepter cette situation, ou bien de la refouler en espérant que quelque chose qu'on nous présente comme "normal" se produise. Parfois (souvent ?) en vain.

    Nous sommes d'accord que les mots "homosexuel", "hétérosexuels", "orientation sexuelle" sont des étiquettes : on tombe amoureux d'une personne, pas d'un sexe en général.

    Cependant on doit bien se rendre à l'évidence que certaines personnes ont régulièrement des penchants pour les personnes du même sexe, et d'autres pour lesquelles cela ne se produit jamais. Que cela soit à l'adolescence ou à l'age adulte, que cela dure ou pas.
    Quand ce phénomène se produit dans tous les pays et à toutes les époques, quand cela ne porte aucun tort aux personnes qui choisissent de le vivre en dehors du regard que porte sur eux la société, oserais-je appeler ça "normal" ?

    Pour parler de mon expérience, jusqu'à l'âge de 30 ans, j'ai tenté de me cacher que j'étais attiré par les hommes, alors que vers 17 ans au fond de moi j'avais compris. Sans avoir eu aucune relation avec l'un des deux sexes jusqu'à cet âge, sans connaitre aucune personne ouvertement homo, en ayant pour seule image des gays "la cage aux folles", ou les blagues sur les "pédés" et les "tapettes". Je suis passé à côté de vrais relations, je me rappelle en particulier d'un jeune homme de mon âge (23 ans à l'époque) qui s'est révélé gay lui aussi bien plus tard, mais nous n'en sommes resté qu'à une pure amitié. Comme cela aurait été différent si nous étions garçon et filles.
    Quant aux jeunes femmes, je me rendais bien compte que cela ne collerait jamais.
    Les seules fois où j'ai tenté de parler de cela à quelqu'un, cela n'a débouché que sur des moqueries, qui se sont prolongées parfois pendant des mois. J'étais plus bas que terre, j'arrivais à me haïr moi même. A tenter de devenir quelqu'un que je ne pourrais jamais être. J'ai fait une dépression et même une tentative de suicide.
    Et un jour j'ai réussi à dire "je suis gay", j'ai fait la démarche de discuter avec des homos et à en rencontrer, et me rendre enfin compte que je n'étais pas le seul à me poser ces questions et à passer par toutes ces étapes ! A partir de ce moment ça a été une véritable libération. Croyez-moi, cela n'a rien à voir avec la sexualité, qui n'est arrivée pour moi qu'encore plus tard.

    Cette expérience est similaire à celle de milliers de gays et lesbiennes. Demandez à votre entourage, s'ils osent vous parler, et vous verrez.

    Il est temps d'arrêter de se voiler la face en se disant "ça passera, ça passera, surtout n'en parlons pas" et de laisser crever de désespoir ceux qui n'y arrivent pas.

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