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Rechercher : Bonny

  • Mgr Bonny en remet une couche

    L’évêque d’Anvers Mgr Johan Bonny « plaide samedi, dans De Morgen, pour une reconnaissance ecclésiastique des relations bi- et homosexuelles », écrit La Libre. Il déclare notamment :

    « Nous devons chercher au sein de l'Eglise une reconnaissance formelle de la relationnalité qui est également présente chez de nombreux couples bi- et homosexuels. Tout comme il existe dans la société une diversité de cadres juridiques pour les couples, il devrait également y avoir une diversité de formes de reconnaissance au sein de l'Eglise. »

    Mgr Bony avait déjà défrayé la chronique début septembre, un mois avant le synode, avec une lettre de 24 pages, traduite en cinq langues, où il se prononçait pour une évolution de l’approche, du vocabulaire et de la pratique de l’Eglise concernant les questions familiales et sexuelles, citant abondamment François et appelant à « oser aller du vécu à la doctrine ».

    Mgr Johan Bonny est donné comme le « très probable » successeur de Mgr Léonard (qui aura 75 ans le 6 mai prochain) comme archevêque de Malines-Bruxelles et primat de Belgique…

  • Les ravages causés par les propos de François

    Dans « un texte audacieux de 24 pages, traduit en cinq langues », comme le dit La Croix qui en fait l’apologie, l’évêque d’Anvers, Mgr Johan Bonny, se sert en permanence des propos de François pour définir ce qu’il attend du synode sur la famille, et ce qu’il en attend est très exactement à l’opposé de la tradition et du magistère de l’Eglise.

  • L’évêque d’Anvers distingué par un prix LGBT

    Le lobby LGBT d’Anvers Çavaria a décerné son « Campaign Award » 2015 à Mgr Johan Bonny, l’évêque d’Anvers, pour son action en faveur de la reconnaissance ecclésiastique des couples bi et homosexuels.

    Mais voilà notre Bonny gêné aux entournures. Il s’est fendu d’un long communiqué (signé par son porte-parole…) expliquant qu’il avait demandé à Çavaria que son nom soit retiré de la liste des nominés, parce qu’il « se veut berger pour tous les croyants du diocèse d’Anvers », et parce qu’il veut « préserver son indépendance », mais aussi, tenez-vous bien, parce qu’il « ne souhaitait pas recevoir de prix pour ce qui est de sa mission et de sa responsabilité ».

    Car sa mission et sa responsabilité d’évêque, c’est donc de dire le contraire de ce que dit l’Eglise.

    Et, bien entendu, il prétend que ses idées hétérodoxes « suivent une ligne historique du Concile Vatican II jusqu’à aujourd’hui », et que son action se situe « sur les pas du pape François »…