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  • La planète bleue en danger

    Le président tchèque Vaclav Klaus a présenté hier son nouveau livre La planète bleue en danger. Il a souligné qu'il souhaitait éviter que « l'idée controversée d'un réchauffement climatique global et l'idée plus controversée encore d'une influence prépondérante de l'homme sur le climat global et la température globale soient utilisées abusivement pour justifier de nouvelles interventions radicales des Etats et des politiques dans la société humaine ».

    Il a ajouté sur le mode ironique que son livre était une petite contribution à la Conférence de Copenhague (qui doit se tenir en décembre).

  • Vaclav Klaus remet ça

    Le président tchèque Vaclav Klaus présentera le 28 août son nouveau livre sur le « changement climatique ».

    Son titre : La planète bleue menacée.

    Explication : « Ils parlent de sauver la planète. De qui ? De Quoi ? Il y a une chose que je sais de façon certaine : c'est d'eux que nous devons sauver la planète - et nous-mêmes. »

  • Lisbonne : Klaus et Kaczynski réitèrent leurs positions

    Le président tchèque Vaclav Klaus a reçu hier le président polonais Lech Kaczynski au château de Lany, près de Prague. Une (étrange) rumeur courait selon laquelle le président polonais avait l’intention de convaincre son homologue tchèque de se montrer plus conciliant sur l’ex-traité de Lisbonne.

    « Nous n'avons pas tenté de nous persuader l'un l'autre. Nous avons nos claires opinions que l'on ne peut pas changer », a répondu Vaclav Klaus.

    « Je considère le traité de Lisbonne comme une erreur, une chose mauvaise pour l'Europe », a-t-il répété. « En ce qui concerne la ratification, je pense qu'aucun de nous n'est obligé d'agir maintenant de manière radicale. A mon avis, sans un changement du résultat irlandais, cela n’a aucun sens de continuer à en parler. »

    Et il a pris l’exemple du football pour faire comprendre qu’on ne doit pas changer les règles : « Nous avons tous pleuré quand nous avons perdu au cours des deux dernières minutes notre match contre la Turquie au championnat d'Europe de football, mais nul n'a imaginé que deux heures plus tard un jury pourrait décider que c'était mal joué et que c’est un autre résultat qui serait valable. Et je pense que si ces règles sont valables dans le football elles le sont aussi bien dans les traités internationaux. »

    Selon le dernier sondage en date (11 juillet), 53% des Tchèques se déclarent contre le traité de Lisbonne, 43% pour. La situation s’est exactement inversée depuis le sondage du mois d’avril (53% pour, 47% contre).

    Lech Kaczynski a déclaré pour sa part : «  Moi, j'ai confirmé ma position que ce traité n'existe pas sans l'Irlande. La clef est dans le changement de la position irlandaise. Il n’y a pas de traité sans l’Irlande, mais la Pologne ne fera pas obstacle à la ratification. »

    La position polonaise est en fait que le président ne signera l’acte de ratification que lorsqu’il se sera clair que le traité pourra entrer en application. C’est ce qu’expliquait fin juin le représentant permanent de la Pologne auprès de l’Union européenne, Jan Tombinski, au site Euroactiv :

    « Actuellement nous ne savons pas si le traité entrera en application. Par conséquent nous devons considérer avec nos partenaires quelle est la véritable situation. Ce n’est pas que l’UE attendrait la Pologne pour achever la ratification. Il y a des pays qui n’ont pas encore fait passer le traité par la procédure parlementaire. Pour engager l’autorité du Président, nous avons besoin de savoir si le traité entrera en application ou non. (…) Nous attendons les six pays qui n’ont pas encore engagé la procédure de ratification, après nous verrons… »

  • Vaclav Klaus ira à l’ONU

    Le président tchèque Vaclav Klaus, eurosceptique notoire, est aussi un virulent adversaire des propagandistes du « réchauffement climatique ». Son porte-parole annonce qu’il se rendra à une conférence internationale organisée par l’ONU à New York fin septembre sur le sujet, et qu’il y prononcera un « discours énergique ».

    Vaclav Klaus accuse les « environnementalistes » de propager une idéologie aussi dangereuse que le communisme. Il a écrit un livre, « Une planète bleue, pas verte », en réponse au film d’Al Gore. La semaine dernière, il disait encore sur les ondes de Radio Liberty que la « fausse menace de réchauffement climatique propagée par les gens comme Al Gore est l’une des plus grandes menaces contre la liberté dans le monde, l’une des plus grandes menaces contre une évolution normale de l’humanité ». « Je pense qu’il faut profiter de toutes les possibilités pour briser cette hystérie », ajoutait-il.